
La Conférence épiscopale nationale congolaise (Cenco), la branche de l’Eglise catholique romaine en RDC, jouit d'une "caution morale" dans ce pays où la politique est souvent minée par la corruption, analyse Fergal Keane, rédacteur en chef de BBC Africa.
La Cenco a fait beaucoup parler d’elle, quelques jours après le scrutin présidentiel du 30 décembre dernier en déclarant connaître le nom du vainqueur, sans toutefois dévoiler son nom, ce qui, selon l'observateur congolais Alain Daite, est une prérogative exclusive de la Commisison électorale nationale indépendante (Céni).
L'institution religieuse, qui réunit les evêques du pays, avait déployé quelque 40.000 observateurs aux élections présidentielle, législatives et provinciales du 30 décembre.
Sur le plan social, la Cenco dispose d'un vaste réseau d'écoles et d'hôpitaux en RDC, où 40 % de la population congolaise sont de confession catholique.
Elle a remis en question les résultats provisoires publiés ce jeudi par la commission électorale (résultats favorables à Félix Tshisekedi), affirmant qu’ils ''ne correspondent pas aux données collectées''. Dans un communiqué, elle appelle toutefois "tout le monde à faire preuve de maturité civique et à éviter le recours à la violence".
La Cenco joue souvent le rôle de médiateur entre la majorité présidentielle et l’opposition.
Il y a deux, sous l’égide de la Conférence épiscopale nationale, les deux entités avaient trouvé un accord pour reporter à fin 2018 l’élection présidentielle qui devait initialement se tenir fin 2016.
La Cenco a fait beaucoup parler d’elle, quelques jours après le scrutin présidentiel du 30 décembre dernier en déclarant connaître le nom du vainqueur, sans toutefois dévoiler son nom, ce qui, selon l'observateur congolais Alain Daite, est une prérogative exclusive de la Commisison électorale nationale indépendante (Céni).
L'institution religieuse, qui réunit les evêques du pays, avait déployé quelque 40.000 observateurs aux élections présidentielle, législatives et provinciales du 30 décembre.
Sur le plan social, la Cenco dispose d'un vaste réseau d'écoles et d'hôpitaux en RDC, où 40 % de la population congolaise sont de confession catholique.
Elle a remis en question les résultats provisoires publiés ce jeudi par la commission électorale (résultats favorables à Félix Tshisekedi), affirmant qu’ils ''ne correspondent pas aux données collectées''. Dans un communiqué, elle appelle toutefois "tout le monde à faire preuve de maturité civique et à éviter le recours à la violence".
La Cenco joue souvent le rôle de médiateur entre la majorité présidentielle et l’opposition.
Il y a deux, sous l’égide de la Conférence épiscopale nationale, les deux entités avaient trouvé un accord pour reporter à fin 2018 l’élection présidentielle qui devait initialement se tenir fin 2016.
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