« Le droit international a été violé notamment par l’utilisation d’armes chimiques en Syrie. Le Sénégal exige que l’enquête qui a été menée par les inspections des Nations Unies puisse donner leurs conclusions. Nous attendons les conclusions de ces inspecteurs pour donner suite à notre position mais il est clair que nous condamnons la façon la plus ferme l’usage d’armes chimiques qui a commis trop de malheurs trop de victimes, il faudrait quelque soit par ailleurs les schémas qui seront mis à œuvre une fois que les réponses seront données sur ces pertes en pertes de vies humaines et qui permettent surtout d’avoir une appréciation de Bachar el-Assad de façon à éviter aussi l’enlisement comme nous l’avons connu dans d’autre pays » réagit le chef de l’Etat qui précise.
« La position du Sénégal n’a jamais varié, nous sommes contre ce qui se fait en Syrie. La question est de savoir comment il faut régler ce problème d’abord par le droit international par l’ONU et sur la base de ce mandat bien entendu, le Sénégal sera aux côtés des pays comme la France et les Etats-Unis qui peuvent apporter une solution sur cette question dont on ne peut pas rester sans réaction mais on ne peut pas nous demander de réagir alors que nous n’avons pas les éléments d’appréciations », au micro de Rfi.
Autres articles
-
Budget 2026 : Hausse des Charges Non Réparties pour soutenir les investissements structurants
-
Finances publiques : les grandes priorités du budget 2026 dévoilées
-
Sommet de la CEDEAO : le Président de la République à Abuja pour la 68ᵉ session ordinaire
-
Budget du MEPC : Ayib Daffé alerte sur la persistance des inégalités territoriales
-
Lettre aux Chefs d'Etat de la Cedeao (Par Fernando Dias da Costa)




Budget 2026 : Hausse des Charges Non Réparties pour soutenir les investissements structurants


