Le climat frais qui prévaut à Dakar devrait avoir un impact sur le démarrage de l’hivernage. Car, a expliqué Diabel Ndiaye, ingénieur à l'’Agence nationale de l'aviation civile et de la météorologie (Anacim) cette basse température est la résultante du refroidissement de la surface océanique.
«Les pays d’Afrique de l’Ouest suivent souvent les indicateurs au niveau de l’Atlantique et au niveau du Pacifique. Mais, il a été noté que, depuis quatre à six mois, on a un refroidissement au large de la côte. Ce refroidissement peut avoir un impact par rapport à la pluviométrique. Et, ce refroidissement a été ressenti à Dakar», a indiqué M. Ndiaye.
Et de poursuivre : «Jusqu’au mois de mai, nous avions une fraîcheur à Dakar. Et d’habitude cette fraicheur s’arrêtait au mois d’avril. Ce refroidissement au large de nos côtes a impacté sur la fraîcheur qu’on ressent au niveau de Dakar».
L’ingénieur qui participait à un atelier sur l’utilisation de l’information climatique organisé à Kaffrine assure cependant que le retard du démarrage de la saison des pluies ne se traduit pas nécessairement par de mauvaises récoltes et qu’il suffisait simplement que les cultivateurs sèment «à la première date utile et suivent les techniques de défense et de restauration du sol».
«Les pays d’Afrique de l’Ouest suivent souvent les indicateurs au niveau de l’Atlantique et au niveau du Pacifique. Mais, il a été noté que, depuis quatre à six mois, on a un refroidissement au large de la côte. Ce refroidissement peut avoir un impact par rapport à la pluviométrique. Et, ce refroidissement a été ressenti à Dakar», a indiqué M. Ndiaye.
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