De la partie mardi dernier lors de la marche réprimée de la tête de liste de la Coalition Gagnante / "Wattù Senegaal", les "Karimistes" ont payé un lourd tribu.
« À tous les responsables et membres de mouvements de soutien au Président Karim Wade. 36 de nos membres sont arrêtés par la police depuis mardi » alors qu’ « ils réclamaient un Droit: leurs cartes d'électeur pour pouvoir voter aux législatives du 30 Juillet 2017 », dénonce le Coordonnateur des Mouvements de soutien à Karim Wade qui cite « des investis privés de campagne à 72 heures de la fin de la période impartie » parmi ces membres.
Soutenant que « l'expression de son opinion est un droit citoyen consacré par la Constitution », dans une note parvenue à PressAfrik.com, Saliou Dieng y énonce que « le pouvoir ne renoncera jamais à son projet de liquidation politique de (leur) leader Karim Wade et de ses souteneurs». Avant de marteler que ce pouvoir « a peur ».
« Mais qu'il sache que ses jours sont comptés et que son crédit expire le 30 Juillet 2017 à 18 heures », lance le « Karimiste » en alertant « l'opinion nationale et la communauté internationale sur les violations des droits des citoyens par le pouvoir de Macky Sall ».
Les partisans du fils de l’ancien président de la République, Wade, exigent « la libération immédiate de leur frères et soeurs injustement arrêtés par la police ».
« À tous les responsables et membres de mouvements de soutien au Président Karim Wade. 36 de nos membres sont arrêtés par la police depuis mardi » alors qu’ « ils réclamaient un Droit: leurs cartes d'électeur pour pouvoir voter aux législatives du 30 Juillet 2017 », dénonce le Coordonnateur des Mouvements de soutien à Karim Wade qui cite « des investis privés de campagne à 72 heures de la fin de la période impartie » parmi ces membres.
Soutenant que « l'expression de son opinion est un droit citoyen consacré par la Constitution », dans une note parvenue à PressAfrik.com, Saliou Dieng y énonce que « le pouvoir ne renoncera jamais à son projet de liquidation politique de (leur) leader Karim Wade et de ses souteneurs». Avant de marteler que ce pouvoir « a peur ».
« Mais qu'il sache que ses jours sont comptés et que son crédit expire le 30 Juillet 2017 à 18 heures », lance le « Karimiste » en alertant « l'opinion nationale et la communauté internationale sur les violations des droits des citoyens par le pouvoir de Macky Sall ».
Les partisans du fils de l’ancien président de la République, Wade, exigent « la libération immédiate de leur frères et soeurs injustement arrêtés par la police ».
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