«Cet acte que vous venez de poser est un acte noble, mais il se pose un problème de confiance entre nous et le gouvernement». Ces propos sont du porte-parole des ex-travailleurs de la Sias et d’Ama Sénégal qui courent toujours derrière l’argent que leur doit, selon eux, l’Etat du Sénégal.
Et c’est dans ce sens qu’ils avaient initié une grève de la faim qu’ils comptent poursuivre jusqu’à ce qu’ils rentrent dans leurs fonds, ont-ils expliqué à Imam Massamba Diop qui leur avait rendu visite pour tenter de leur faire cesser cette diète en cette période Korité.
Décidés à ne pas se laisser attendrir ils expliquent par la voix de Ndiambé Samb : «Nous ne pouvons pas concevoir qu’après deux avances de 130 millions, que le Gouvernement s’attèle à dire que nous ne vous devons absolument rien. C’est inadmissible».
D’ailleurs, rappelle M. Samb «l’année dernière, Imam Matar Guèye est intervenu pour régler le problème. Le gouvernement s’était engagé à nous payer nos droits mais finalement, il ne nous a versé que deux tranches de 130 millions de francs avant de s’arrêter».
Selon lui, il n’est pas question que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Et c’est pourquoi ils réclament de la part du gouvernement «des actes concrets avant d’arrêter la grève».
Et c’est dans ce sens qu’ils avaient initié une grève de la faim qu’ils comptent poursuivre jusqu’à ce qu’ils rentrent dans leurs fonds, ont-ils expliqué à Imam Massamba Diop qui leur avait rendu visite pour tenter de leur faire cesser cette diète en cette période Korité.
Décidés à ne pas se laisser attendrir ils expliquent par la voix de Ndiambé Samb : «Nous ne pouvons pas concevoir qu’après deux avances de 130 millions, que le Gouvernement s’attèle à dire que nous ne vous devons absolument rien. C’est inadmissible».
D’ailleurs, rappelle M. Samb «l’année dernière, Imam Matar Guèye est intervenu pour régler le problème. Le gouvernement s’était engagé à nous payer nos droits mais finalement, il ne nous a versé que deux tranches de 130 millions de francs avant de s’arrêter».
Selon lui, il n’est pas question que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Et c’est pourquoi ils réclament de la part du gouvernement «des actes concrets avant d’arrêter la grève».
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