L’actualité culturelle à la lumière du FESMEN était au menu de la réunion du bureau politique de l’Afp de ce lundi. Les disfonctionnements notés dans les préparatifs sont comparables à ceux de l’ANOCI selon les progressistes. « Le budget du FESMAN, colossal au regard des contraintes de l’heure, n’aurait pas constitué une pilule difficile à avaler, si le professionnalisme et la rigueur étaient au rendez-vous. Comme pour l’ANOCI, plusieurs chantiers mal gérés ne sont pas achevés et beaucoup d’acteurs éminents de la culture ont été laissés en rade au profit de laudateurs ou d’illustres inconnus ».
« En plus, un autre aspect des faiblesses du FESMAN s’explique par l’effondrement de notre politique extérieure et de notre diplomatie qui a érodé l’influence du Sénégal et provoqué son isolement en Afrique de l’Ouest et dans le monde ». Pour explication, le communiqué du bureau politique avance, « L’exclusion de M. Wade des dossiers du Darfour, de la Guinée et de la Côte d’Ivoire en est une éloquente illustration ».
L’état des lieux dans la fonction publique était un des sujets de la rencontre. « En effet, les effectifs de la Fonction Publique qui étaient de quelque 66.000 en 2000 son passés à environ 90.000 en 2010, soit une augmentation de 30 %. Cette augmentation est absorbée pour l’essentiel par la voracité partisane des pseudo-libéraux, au détriment de la qualité des soins dans les structures sanitaires, de la qualité de l’enseignement et des effectifs des autres corps de la fonction publique qui ont besoin de recrutements. C’est à travers la même grille de lecture qu’il convient de percevoir la pléthore indécente de ministres dont une vingtaine de ministres d’Etat ».
« En plus, un autre aspect des faiblesses du FESMAN s’explique par l’effondrement de notre politique extérieure et de notre diplomatie qui a érodé l’influence du Sénégal et provoqué son isolement en Afrique de l’Ouest et dans le monde ». Pour explication, le communiqué du bureau politique avance, « L’exclusion de M. Wade des dossiers du Darfour, de la Guinée et de la Côte d’Ivoire en est une éloquente illustration ».
L’état des lieux dans la fonction publique était un des sujets de la rencontre. « En effet, les effectifs de la Fonction Publique qui étaient de quelque 66.000 en 2000 son passés à environ 90.000 en 2010, soit une augmentation de 30 %. Cette augmentation est absorbée pour l’essentiel par la voracité partisane des pseudo-libéraux, au détriment de la qualité des soins dans les structures sanitaires, de la qualité de l’enseignement et des effectifs des autres corps de la fonction publique qui ont besoin de recrutements. C’est à travers la même grille de lecture qu’il convient de percevoir la pléthore indécente de ministres dont une vingtaine de ministres d’Etat ».
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