Les hommes politiques n’attirent plus trop de monde. Le journaliste Mame Less Camara a expliqué cela par le fait qu’ils ne font plus rêver. «Ils ne sont plus attractifs et aujourd’hui. Ce qui est le plus contreproductif, pour l’opposition comme pour le pouvoir, c’est que les chefs ne font plus venir des gens à eux. Ils ne font plus recette, ils ne sont plus magiques ; il n’y a pas de Obama chez eux», a dessiné l’analyste politique qui a suivi la coalition Bennoo dans sa manifestation du samedi 19 mars.
Selon le journaliste, il y a, incontestablement, une lassitude vis-à-vis des partis politiques, peut-être autant, en tant qu’organisation qu’on n’a pas questionné dans l’efficacité. Car, au Sénégal la direction des partis politiques, qui sont des formes d’organisation assez vieilles, ne se renouvelle pas.
C’est pourquoi, explique-t-il, les gens qui ne veulent pas renoncer à leur droit de se battre, organisent autre chose ou alors les plus intelligents ou qui ont le plus perçu ce phénomène baptisent autrement leur formation politique. C’est le cas de Luy Jot Jotna, de Yakaar, de Y’en a marre. Des gens qui, selon lui, interviennent pour qu’on règle un problème plus que des gens qui s’engagent dans la longue durée pour gérer des militants.
Selon le journaliste, il y a, incontestablement, une lassitude vis-à-vis des partis politiques, peut-être autant, en tant qu’organisation qu’on n’a pas questionné dans l’efficacité. Car, au Sénégal la direction des partis politiques, qui sont des formes d’organisation assez vieilles, ne se renouvelle pas.
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