
En sit-in ce matin, les membres du réseau national des prestataires des transferts d’argent de Touba sont très remontés contre l’opérateur de téléphonie Orange. En effet, ils dénoncent la décision prise par ladite société de diminuer la commission. Une mesure qui risque d’envoyer des milliers d’investisseurs au chômage. Ils ont, à cet effet mis sur pied un plan d’action et comptent rencontrer le khalife général des mourides pour lui exposer leur situation.
« Avec une grande surprise de désolation et d'amertume, nous avons appris la décision unilatérale de cette société de télécommunication de diminuer drastiquement les commissions perçues par les 2000 investisseurs sénégalais qui vivent de ce secteur. Les taux sont passés de 75 à 55 % », a dénoncé leur porte-parole du jour.
Ces manifestants, en majorité des émigrés de retour et qui ont investi des millions dans ce secteur, refusent de voir leurs rêves se briser. « Nous avons investi des centaines de millions de francs Cfa dans le secteur. Mais Orange est revenu sur tous les taux des commissions. Il nous mène une concurrence déloyale », peste-t-il.
Ainsi, il exige l’arbitrage des autorités étatiques. Selon, eux si l’Etat en tant que acteur économique ne fait rien, des centaines de jeunes sénégalais vont se retrouver dans la rue. Sur ce, ils lancent un appel urgent face à cette situation qui menacerait l’économie du pays.
« Avec une grande surprise de désolation et d'amertume, nous avons appris la décision unilatérale de cette société de télécommunication de diminuer drastiquement les commissions perçues par les 2000 investisseurs sénégalais qui vivent de ce secteur. Les taux sont passés de 75 à 55 % », a dénoncé leur porte-parole du jour.
Ces manifestants, en majorité des émigrés de retour et qui ont investi des millions dans ce secteur, refusent de voir leurs rêves se briser. « Nous avons investi des centaines de millions de francs Cfa dans le secteur. Mais Orange est revenu sur tous les taux des commissions. Il nous mène une concurrence déloyale », peste-t-il.
Ainsi, il exige l’arbitrage des autorités étatiques. Selon, eux si l’Etat en tant que acteur économique ne fait rien, des centaines de jeunes sénégalais vont se retrouver dans la rue. Sur ce, ils lancent un appel urgent face à cette situation qui menacerait l’économie du pays.
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