
Au terme de cet accord le gouvernement du Premier ministre Bachagha entrera pacifiquement à Tripoli. L'accord stipule également l'ouverture rapide de l'espace aérien fermé depuis une semaine sur ordre du Premier ministre sortant Dbeibah, ainsi que l’ouverture de la route côtière reliant Tripoli à Benghazi.
Éviter « l'effusion du sang »
Fathi Bachagha a annoncé que ses groupes se sont retirés pour éviter « l'effusion du sang » et qu'il « ne préfère pas recourir aux armes ». Ses forces portaient des drapeaux blancs et cherchaient à prendre possession des ministères pour permettre au gouvernement de travailler a-t-il expliqué.
Il a critiqué son rival Abdel Hamid Dbeibah qui, selon lui, refusait jusqu’ici les médiations pour une sortie de la crise. L'envoyé spécial américain en Libye, Richard Norland, a affirmé hier que Dbeibah accepte de discuter avec son rival. Une rencontre se prépare entre les deux Premiers ministres sous l'égide de l'ONU.
La question du pétrole
En attente des médiations, les divisons et les pressions se multiplient et la situation reste tendue. La question du pétrole entre une nouvelle fois en jeu et pourrait être utilisée comme arme de guerre. Hier, des civils au centre du pays ont menacé de fermer les terminaux du croissant pétrolier afin que la communauté internationale accepte la solution « libyano-libyenne et reconnaisse le gouvernement Bachagha désigné par le Parlement ».
Éviter « l'effusion du sang »
Fathi Bachagha a annoncé que ses groupes se sont retirés pour éviter « l'effusion du sang » et qu'il « ne préfère pas recourir aux armes ». Ses forces portaient des drapeaux blancs et cherchaient à prendre possession des ministères pour permettre au gouvernement de travailler a-t-il expliqué.
Il a critiqué son rival Abdel Hamid Dbeibah qui, selon lui, refusait jusqu’ici les médiations pour une sortie de la crise. L'envoyé spécial américain en Libye, Richard Norland, a affirmé hier que Dbeibah accepte de discuter avec son rival. Une rencontre se prépare entre les deux Premiers ministres sous l'égide de l'ONU.
La question du pétrole
En attente des médiations, les divisons et les pressions se multiplient et la situation reste tendue. La question du pétrole entre une nouvelle fois en jeu et pourrait être utilisée comme arme de guerre. Hier, des civils au centre du pays ont menacé de fermer les terminaux du croissant pétrolier afin que la communauté internationale accepte la solution « libyano-libyenne et reconnaisse le gouvernement Bachagha désigné par le Parlement ».
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