Un soldat des forces pro-gouvernementales en embuscade près de l'entrée nord de Bani Walid, le 21 octobre 2012.
Un habitant de Bani Walid témoigne au micro d'Alexandra Brangeon de la rédaction en langue anglaise de RFI
La situation est très, très mauvaise. Pas d'électricité, pas d'eau, pas de nourriture, pas de lait en poudre... Les magasins sont fermés. Impossible de trouver de l'essence ou du gaz. Tout est vide. Les gens ne sortent pas...
Aujourd'hui, il y a deux avions qui ont survolé Bani Walid. Ils ont frappé la ville avec deux missiles. La situation est très misérable. Ils nous bombardent complètement au hasard... Complètement au hasard... Soudain, une bombe va frapper votre maison. Vous ne pouvez pas aller dehors, parce que si vous allez dehors, les milices vont vous capturer.
Les miliciens font de mauvaises choses à nos femmes et à nos filles. Ils les séparent des hommes et font des choses horribles devant leurs familles...
Source: RFI
La situation est très, très mauvaise. Pas d'électricité, pas d'eau, pas de nourriture, pas de lait en poudre... Les magasins sont fermés. Impossible de trouver de l'essence ou du gaz. Tout est vide. Les gens ne sortent pas...
Aujourd'hui, il y a deux avions qui ont survolé Bani Walid. Ils ont frappé la ville avec deux missiles. La situation est très misérable. Ils nous bombardent complètement au hasard... Complètement au hasard... Soudain, une bombe va frapper votre maison. Vous ne pouvez pas aller dehors, parce que si vous allez dehors, les milices vont vous capturer.
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