
À moins de onze jours de l'élection présidentielle, la situation reste confuse dans le pays. Le gouvernement d'Union nationale se dit « prêt » pour ce scrutin mais la haute commission électorale n'a toujours pas publié la liste définitive des candidats éligibles. Officiellement, cette liste devait être annoncée au plus tard quinze jours avant la date du scrutin.
La tenue du scrutin, le 24 décembre, semble plus que jamais compromise. L'agenda électoral a pris un retard important et les divergences persistent sur les textes juridiques qui encadrent ce scrutin. Plusieurs observateurs, familiers du dossier libyen, ont mis en garde : l’élection présidentielle ne peut plus se tenir à la date prévue.
À moins de onze jours de l'échéance, faute d’une liste officielle des candidats, la campagne électorale ne peut toujours pas commencer. Le Parlement considère que l'Autorité électorale a échoué dans la maîtrise du calendrier électoral.
Selon le porte-parole du Parlement, la séance tenue ce lundi 13 décembre à Tripoli a été consacrée à discuter des difficultés qui entravent le processus électoral. Cette séance a eu lieu en présence de 65 députés et était dirigée par le numéro deux du Parlement, Fawzi al-Nouayri.
Pressions politiques
Un comité juridique parlementaire doit examiner les rapports émis par le ministère de l'Intérieur, le Haut Conseil juridique et la Haute commission électorale. Ce comité devra ensuite soumettre ses recommandations au Parlement pour que celui-ci prenne la décision finale de maintenir ou non les élections.
Certains parlementaires estiment que c’est à la haute Commission électorale de décaler les élections, au vu du retard qu'elle a pris et des pressions politiques qu'elle a subies.
La tenue du scrutin, le 24 décembre, semble plus que jamais compromise. L'agenda électoral a pris un retard important et les divergences persistent sur les textes juridiques qui encadrent ce scrutin. Plusieurs observateurs, familiers du dossier libyen, ont mis en garde : l’élection présidentielle ne peut plus se tenir à la date prévue.
À moins de onze jours de l'échéance, faute d’une liste officielle des candidats, la campagne électorale ne peut toujours pas commencer. Le Parlement considère que l'Autorité électorale a échoué dans la maîtrise du calendrier électoral.
Selon le porte-parole du Parlement, la séance tenue ce lundi 13 décembre à Tripoli a été consacrée à discuter des difficultés qui entravent le processus électoral. Cette séance a eu lieu en présence de 65 députés et était dirigée par le numéro deux du Parlement, Fawzi al-Nouayri.
Pressions politiques
Un comité juridique parlementaire doit examiner les rapports émis par le ministère de l'Intérieur, le Haut Conseil juridique et la Haute commission électorale. Ce comité devra ensuite soumettre ses recommandations au Parlement pour que celui-ci prenne la décision finale de maintenir ou non les élections.
Certains parlementaires estiment que c’est à la haute Commission électorale de décaler les élections, au vu du retard qu'elle a pris et des pressions politiques qu'elle a subies.
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