Nommé à la tête de la Compagnie Générale Immobilière du Sahel (CGIS), filiale de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) en mai 2024, Ibra Ali Sy a été limogé 4 mois seulement après son installation, en septembre 2024. Selon plusieurs médias, Falidou Keïta, directeur général de la Cdc l’aurait demandé de passer un marché de gré à gré qu’il aurait refusé d’où son limogeage. Interpellé sur la question à l’émission Grand jury sur la RFm, ce 29 septembre 2024, M. Keïta a apporté des précisions.
« Nous sommes dans le Jub, Jubal, et Jubanti. Moi, je ne serais pas pris au collet juste parce que j’ai remplacé une personne qui était assistante technique à la Cdc. Ce n’est pas la personne la plus disposée pour être Dg de la CGIS. J’a eu confiance en ces personnes, c’est parce que j’avais bon espoir qu’elles s’inscriraient dans le sillage du Jub, Jubal, et Jubanti », a, d'emblée, déclaré le responsable politique du Pastef, parti au pouvoir.
M. Keïta de poursuivre : « Personne au Sénégal ne peut sortir une chose que je lui ai demandé. Je n’ai jamais demandé de marché de gré à gré surtout à lui (Aly Sy), je ne lui ai jamais demandé de faire quoi que ce soit hormis de commencer à faire la revue et de faire en sorte qu’on récupère le foncier qui nous appartient. Jamais, j’ai dit jamais, je n’ai demandé à un collaborateur, qui que ce soit, de me donner tel ou tel chose », a précisé Falidou Keïta.
Qui est revenu sur ce qui s’est réellement passé avec l’ancien Dg de la CGIS. « Ce collaborateur, je lui ai demandé de travailler à récupérer les équipements collectifs des 30 hectares qu’on a vendus. Lui-même a écrit des courriers pour qu’on récupère les documents collectifs. Mais, il se trouve qu’il est allé au niveau de notre filiale bureau d’études Caco (Consortium Africain de Conseil et d’Organisation) morceler 4 équipements collectifs à mon insu alors que la CGIS n’a qu’un mandat de commercialisation. Comment une personne chargée de récupérer des éléments collectifs peut aller elle-même prendre les équipements collectifs et les morceler. A quelle fin. Qui lui a donné l’autorisation ?
M. Keïta est ferme : « Je n’accepterais pas que pareille chose se passe derrière mon dos et qu’après on fixe des responsabilités et qu’on me dit que c’est Falidou qui a autorisé tel ou telle chose. Si j’ai demandé une chose à une personne à la Cdc ou à l’externe qu’elle vienne l’exposer ».
« Nous sommes dans le Jub, Jubal, et Jubanti. Moi, je ne serais pas pris au collet juste parce que j’ai remplacé une personne qui était assistante technique à la Cdc. Ce n’est pas la personne la plus disposée pour être Dg de la CGIS. J’a eu confiance en ces personnes, c’est parce que j’avais bon espoir qu’elles s’inscriraient dans le sillage du Jub, Jubal, et Jubanti », a, d'emblée, déclaré le responsable politique du Pastef, parti au pouvoir.
M. Keïta de poursuivre : « Personne au Sénégal ne peut sortir une chose que je lui ai demandé. Je n’ai jamais demandé de marché de gré à gré surtout à lui (Aly Sy), je ne lui ai jamais demandé de faire quoi que ce soit hormis de commencer à faire la revue et de faire en sorte qu’on récupère le foncier qui nous appartient. Jamais, j’ai dit jamais, je n’ai demandé à un collaborateur, qui que ce soit, de me donner tel ou tel chose », a précisé Falidou Keïta.
Qui est revenu sur ce qui s’est réellement passé avec l’ancien Dg de la CGIS. « Ce collaborateur, je lui ai demandé de travailler à récupérer les équipements collectifs des 30 hectares qu’on a vendus. Lui-même a écrit des courriers pour qu’on récupère les documents collectifs. Mais, il se trouve qu’il est allé au niveau de notre filiale bureau d’études Caco (Consortium Africain de Conseil et d’Organisation) morceler 4 équipements collectifs à mon insu alors que la CGIS n’a qu’un mandat de commercialisation. Comment une personne chargée de récupérer des éléments collectifs peut aller elle-même prendre les équipements collectifs et les morceler. A quelle fin. Qui lui a donné l’autorisation ?
M. Keïta est ferme : « Je n’accepterais pas que pareille chose se passe derrière mon dos et qu’après on fixe des responsabilités et qu’on me dit que c’est Falidou qui a autorisé tel ou telle chose. Si j’ai demandé une chose à une personne à la Cdc ou à l’externe qu’elle vienne l’exposer ».
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