
Les établissements privés du Supérieur sont dans la plus plus grande inquiétude après le vote, dimanche dernier de la Loi de finance rectificative qui va consacrer la baisse du budget.
"Depuis le vote de la LFR de juin 2019, les membres des EPES ne cessent de s’interroger sur le devenir des engagements antérieurement pris par le gouvernement tendant à éponger les sommes dues aux établissements au titre des arriérés de paiements des étudiants envoyés par l’Etat dans les EPES au titre des années 2017-2018 et 2018-2019", peut-on lire dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
Ces établissements rappellent que "'pour sortir de la situation de 2018 et à l’issue d’une rencontre entre le Ministre de l’Economie des Finances et du Plan (MEFP), le Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) et les responsables du Cadre Unitaire des Organisations des Etablissements Privés d’Enseignement Supérieur (CUDOPES) le 22 novembre 2018, le gouvernement avait annoncé que la LFR de juin 2019 inscrirait 4 000 000 000 frs de crédits et qu’un réaménagement budgétaire serait fait au niveau du MESRI afin de dégager 4 autres milliards pour solder une partie des arriérés".
Selon eux, "l’absence d’une inscription budgétaire dans la LFR 2019 à concurrence des montants cités, montre que l’Etat n’a pas respecté ses engagements et risque de créer une situation qui pourrait compromettre la poursuite de l’année universitaire".
En effet, le Bureau du CUDOPES relève que nulle part dans la LFR 2019, il n’existe une inscription concernent la dette des EPES, malgré les assurances données par le Monsieur le Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation lors d’une rencontre avec des responsables des EPES le 24 mai 2019.
Pour rappel, c’est le ministre de l’économie et des finances sortant, Monsieur Amadou Ba, qui avait pris l’engagement d’inscrire 4 000 000 000 dans la LFR 2019.
Ces engagements avaient été réitérés par le nouveau MESRI, Monsieur Cheikh Omar Hann, qui avait fait valoir le respect absolu des engagements pris antérieurement en vertu du principe de la continuité de l’action du gouvernement.
"Depuis le vote de la LFR de juin 2019, les membres des EPES ne cessent de s’interroger sur le devenir des engagements antérieurement pris par le gouvernement tendant à éponger les sommes dues aux établissements au titre des arriérés de paiements des étudiants envoyés par l’Etat dans les EPES au titre des années 2017-2018 et 2018-2019", peut-on lire dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
Ces établissements rappellent que "'pour sortir de la situation de 2018 et à l’issue d’une rencontre entre le Ministre de l’Economie des Finances et du Plan (MEFP), le Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) et les responsables du Cadre Unitaire des Organisations des Etablissements Privés d’Enseignement Supérieur (CUDOPES) le 22 novembre 2018, le gouvernement avait annoncé que la LFR de juin 2019 inscrirait 4 000 000 000 frs de crédits et qu’un réaménagement budgétaire serait fait au niveau du MESRI afin de dégager 4 autres milliards pour solder une partie des arriérés".
Selon eux, "l’absence d’une inscription budgétaire dans la LFR 2019 à concurrence des montants cités, montre que l’Etat n’a pas respecté ses engagements et risque de créer une situation qui pourrait compromettre la poursuite de l’année universitaire".
En effet, le Bureau du CUDOPES relève que nulle part dans la LFR 2019, il n’existe une inscription concernent la dette des EPES, malgré les assurances données par le Monsieur le Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation lors d’une rencontre avec des responsables des EPES le 24 mai 2019.
Pour rappel, c’est le ministre de l’économie et des finances sortant, Monsieur Amadou Ba, qui avait pris l’engagement d’inscrire 4 000 000 000 dans la LFR 2019.
Ces engagements avaient été réitérés par le nouveau MESRI, Monsieur Cheikh Omar Hann, qui avait fait valoir le respect absolu des engagements pris antérieurement en vertu du principe de la continuité de l’action du gouvernement.
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