Selon le chef rebelle, l’armée a attaqué ses forces dans le nord du pays.
"Mes troupes observent le cessez-le-feu mais elles répliqueront en cas d’attaques si l’offensive gouvernementale continue", a déclaré M. Machar.
Le porte-parole du gouvernement a nié ces accusations en déclarant que Riek Machar n’a pas réussi à ordonner le cessez-le-feu à ses troupes.
L’accord de paix a été signé par le président Salva Kiir mais il a fait part d’une liste d’observations de douze pages.
Selon l’accord, M. Machar doit occuper le poste de vice-président dans un régime de transition.
Le Conseil de sécurité de l’Onu a averti qu’il réagirait en cas de violations des accords.
Plusieurs accords de non-agression signés par Riek Machar et Salva Kiir, souvent sous le patronage des autres pays d’Afrique de l’Est, ont été violés.
La guerre menée par les deux camps depuis fin 2013 a fait des dizaines de milliers de morts et au moins deux millions de déplacés.
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