16h. Dans moins d'une heure, Enawo aura touché la capitale. Au BNGRC, le Bureau national de gestion des risques et catastrophes, la dizaine de membres qui se relaient 24h sur 24 dans la cellule de veille s'affairent à collecter et recouper les informations qui lui parviennent sur les dégâts déjà causés par le cyclone.
Les sources sont nombreuses, comme l'explique le lieutenant-colonel Philippe Risser, coopérant français dans le domaine de la protection civile. « On a bien sûr le réseau étatique. Donc, là ça part du fokotany, c'est-à-dire du niveau du village ou du quartier dans la commune, en passant par la région, où là on a un préfet. On reçoit aussi des informations des ONG, type Croix-Rouge Malagasy. On a aussi le réseau des Nations unies qui ont un certain nombre d'agences avec des gens prépositionnés sur le terrain. Et ensuite, pour finir, le réseau informel : des coups de téléphone que l'on peut avoir, des mails de personnes ressources, qui nous envoient des informations qu'il faut bien sûr ensuite traiter », détaille-t-il.
Les sources sont nombreuses, comme l'explique le lieutenant-colonel Philippe Risser, coopérant français dans le domaine de la protection civile. « On a bien sûr le réseau étatique. Donc, là ça part du fokotany, c'est-à-dire du niveau du village ou du quartier dans la commune, en passant par la région, où là on a un préfet. On reçoit aussi des informations des ONG, type Croix-Rouge Malagasy. On a aussi le réseau des Nations unies qui ont un certain nombre d'agences avec des gens prépositionnés sur le terrain. Et ensuite, pour finir, le réseau informel : des coups de téléphone que l'on peut avoir, des mails de personnes ressources, qui nous envoient des informations qu'il faut bien sûr ensuite traiter », détaille-t-il.
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