Le colonel Assimi Goïta, vice-président de la transition chargé des questions de Sécurité et de Défense, est sur le terrain. L’homme a probablement compris que l’opinion publique nationale voulait voir l’armée malienne montrer ses muscles à Farabougou pour défendre les populations pris en tenaille depuis début octobre par de présumés jihadistes.
Le colonel Assimi Goïta a donc momentanément abandonné son fauteuil douillet de Bamako afin de diriger les opérations militaires dans la région de Ségou. De la localité de Bafo par exemple, il a organisé la ronde des hélicoptères qui a permis à des militaires maliens de prendre pied dans le village de Farabougou.
Des militaires et des vivres dans le village, mais les alentours sont toujours contrôlés par les assaillants armés. Que va- t-il se passer ? « Le colonel Assimi Goïta est toujours ici dans la région de Ségou et pour encore des jours », s’est contenté de répondre un proches du principal auteur du coup d’État du 18 août dernier.
D’après nos informations, la priorité de l’armée malienne est de montrer à la population de Farabougou qu’elle est là et qu’elle ne l’abandonnera pas. Aucun de nos interlocuteurs ne souhaitent entrer dans les détails. « Secret défense oblige ».
Le colonel Assimi Goïta a donc momentanément abandonné son fauteuil douillet de Bamako afin de diriger les opérations militaires dans la région de Ségou. De la localité de Bafo par exemple, il a organisé la ronde des hélicoptères qui a permis à des militaires maliens de prendre pied dans le village de Farabougou.
Des militaires et des vivres dans le village, mais les alentours sont toujours contrôlés par les assaillants armés. Que va- t-il se passer ? « Le colonel Assimi Goïta est toujours ici dans la région de Ségou et pour encore des jours », s’est contenté de répondre un proches du principal auteur du coup d’État du 18 août dernier.
D’après nos informations, la priorité de l’armée malienne est de montrer à la population de Farabougou qu’elle est là et qu’elle ne l’abandonnera pas. Aucun de nos interlocuteurs ne souhaitent entrer dans les détails. « Secret défense oblige ».
Autres articles
-
Présidentielle en Mauritanie: l’ex-chef de l’État Ould Abdel Aziz, condamné en 2023, a déposé sa candidature
-
Madagascar: l'Église catholique dénonce la loi autorisant la castration des pédophiles
-
Mali: «l'armée ne doit pas justifier ses exactions par celles des terroristes», selon Amnesty
-
RDC: le principe de la révision de la loi de finances 2024 est acté
-
Le patrimoine de chefs d'États africains à Dubaï révélé par une enquête de médias internationaux