Le chaos annoncé par les groupes jihadistes du nord du Mali n’a pas eu lieu. Malgré quelques opérations menées, ils n’ont pas pu réellement déstabiliser l’organisation des élections sur le territoire national.
Lors du second tour de la présidentielle malienne, des bureaux de vote – surtout au centre – ont ouvert, alors qu’ils étaient fermés pour raison d’insécurité au premier tour de la Présidentielle, affirment les autorités maliennes.
Le dispositif sécuritaire mis en place a probablement dissuadé les jihadistes. Pour le scrutin du dimanche 12 août, 6 000 militaires supplémentaires ont été déployés, affirme-t-on officiellement.
Les forces partenaires du Mali, comme les Casques bleus de l’ONU, les militaires français de l’opération Barkhane et même les groupes armés du nord – impliqués dans le processus de paix – ont également participé à la sécurisation du scrutin. Ces forces ont même anticipé en menant, quelques jours avant l’élection, des opérations pour débusquer de présumés jihadistes.
Des analystes estiment aussi que, si on n’a pas trop entendu parler des groupes jihadistes pendant le déroulement des élections, c’est parce qu’ils sont probablement pour le moment affaiblis.
Lors du second tour de la présidentielle malienne, des bureaux de vote – surtout au centre – ont ouvert, alors qu’ils étaient fermés pour raison d’insécurité au premier tour de la Présidentielle, affirment les autorités maliennes.
Le dispositif sécuritaire mis en place a probablement dissuadé les jihadistes. Pour le scrutin du dimanche 12 août, 6 000 militaires supplémentaires ont été déployés, affirme-t-on officiellement.
Les forces partenaires du Mali, comme les Casques bleus de l’ONU, les militaires français de l’opération Barkhane et même les groupes armés du nord – impliqués dans le processus de paix – ont également participé à la sécurisation du scrutin. Ces forces ont même anticipé en menant, quelques jours avant l’élection, des opérations pour débusquer de présumés jihadistes.
Des analystes estiment aussi que, si on n’a pas trop entendu parler des groupes jihadistes pendant le déroulement des élections, c’est parce qu’ils sont probablement pour le moment affaiblis.
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