Le Collectif Rappel à l’Ordre, mouvement citoyen engagé pour la défense des libertés fondamentales et de l’État de droit au Sénégal, a tenu ce vendredi 19 septembre une marche pacifique à Dakar. Parmi les participants figurait Thierno Alassane Sall, leader de République des Valeurs et député à l’Assemblée nationale.
Prenant la parole, l’ancien ministre a critiqué le fonctionnement de la justice sénégalaise, estimant qu’« il ne peut y avoir de paix sans justice ».
« Je m’adresse à la justice du Sénégal : si vous voulez la paix dans ce pays, il faut qu’il y ait justice ; il faut que les juges rendent justice. Abdou Nguer a été envoyé en instruction sans raison, tout comme d’autres personnes détenues. Les événements de 2021 et 2024 n’étaient pas liés à un seul individu, mais à un sentiment largement partagé par les Sénégalais : l’absence de justice », a déclaré le député.
Il a également dénoncé des pratiques autoritaires et le licenciement de certains travailleurs sans motif valable.
« Il ne peut pas y avoir de paix dans un pays où ceux qui nous dirigent appliquent la dictature. Des travailleurs, soutiens de famille, ont été licenciés sans motif valable et remplacés par des militants de Pastef. C’est une violence inacceptable. C’est ce genre d’injustices qui m’a poussé à participer à cette manifestation », a dit le leader de la République des Valeurs.
Prenant la parole, l’ancien ministre a critiqué le fonctionnement de la justice sénégalaise, estimant qu’« il ne peut y avoir de paix sans justice ».
« Je m’adresse à la justice du Sénégal : si vous voulez la paix dans ce pays, il faut qu’il y ait justice ; il faut que les juges rendent justice. Abdou Nguer a été envoyé en instruction sans raison, tout comme d’autres personnes détenues. Les événements de 2021 et 2024 n’étaient pas liés à un seul individu, mais à un sentiment largement partagé par les Sénégalais : l’absence de justice », a déclaré le député.
Il a également dénoncé des pratiques autoritaires et le licenciement de certains travailleurs sans motif valable.
« Il ne peut pas y avoir de paix dans un pays où ceux qui nous dirigent appliquent la dictature. Des travailleurs, soutiens de famille, ont été licenciés sans motif valable et remplacés par des militants de Pastef. C’est une violence inacceptable. C’est ce genre d’injustices qui m’a poussé à participer à cette manifestation », a dit le leader de la République des Valeurs.
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