C’est mardi gras ! Dans la commune de Dieuppeul, les écoles privées comme publiques, préscolaires et élémentaires de la capitale dakaroise ont respecté la tradition. Qui consiste pour les enfants surtout à s’habiller comme une personnalité de leur choix.
Au jardin d'enfants ‘’Bouba et Frisquette’’, situé sur les deux voies de Dieuppeul Allée Serigne Babacar Sy, les enfants vivent une belle ambiance totale. A l’entrée, on peut lire le bonheur sur le visage des enfants. Ces derniers, habillés en costumes tarabiscotée, profitent de l’ambiance des tam-tams, ils chantent et dansent.
Des filles déguisées en mode mariées, tenues traditionnelles avec des bijoux et des maquillages qui répondent à la coutume de l'ethnie que représente chaque enfant (lébou, sérère, diola, halpoulars, mandingue…). De l’autre côté des garçons, si certains sont habillés en tenue militaire, d'autres en mode médecin, infirmier, marabout ou même Abbé…
Les maîtresses aussi ne sont pas en reste. Elles se sont bien déguisées pour accompagner leurs apprenants. En effet, selon ces dernières, les déguisements sont obligatoires pour chaque enfant peu importe sa religion, la fête se fait sans distinction.
« Tous les enfants de l’établissement sont appelés à se déguiser. C’est obligatoire car on ne pourrait pas faire la fête avec des distinctions », livre la directrice du Jardin "Bouba et Frisquette".
Par contre, le genre de déguisement n'est dicté à aucun parent. « Chaque enfant se déguise selon sa coutume ou les préférences de ses parents. L’essentiel pour nous c’est de les voir tous en tenu », confie l’institutrice au micro de PressAfrik.
Le mardi, veille du démarrage du carême est qualifié de gras par allusion à certains aliments, dont le beurre, les œufs et la viande. Il vient d’une pratique religieuse chrétienne, qui consistait à s’amuser et à manger "gras" avant le Carême, période de 40 jours de jeûne et d’abstinence précédent Pâques.
Au jardin d'enfants ‘’Bouba et Frisquette’’, situé sur les deux voies de Dieuppeul Allée Serigne Babacar Sy, les enfants vivent une belle ambiance totale. A l’entrée, on peut lire le bonheur sur le visage des enfants. Ces derniers, habillés en costumes tarabiscotée, profitent de l’ambiance des tam-tams, ils chantent et dansent.
Des filles déguisées en mode mariées, tenues traditionnelles avec des bijoux et des maquillages qui répondent à la coutume de l'ethnie que représente chaque enfant (lébou, sérère, diola, halpoulars, mandingue…). De l’autre côté des garçons, si certains sont habillés en tenue militaire, d'autres en mode médecin, infirmier, marabout ou même Abbé…
Les maîtresses aussi ne sont pas en reste. Elles se sont bien déguisées pour accompagner leurs apprenants. En effet, selon ces dernières, les déguisements sont obligatoires pour chaque enfant peu importe sa religion, la fête se fait sans distinction.
« Tous les enfants de l’établissement sont appelés à se déguiser. C’est obligatoire car on ne pourrait pas faire la fête avec des distinctions », livre la directrice du Jardin "Bouba et Frisquette".
le genre de déguisement n'est pas dicté
Par contre, le genre de déguisement n'est dicté à aucun parent. « Chaque enfant se déguise selon sa coutume ou les préférences de ses parents. L’essentiel pour nous c’est de les voir tous en tenu », confie l’institutrice au micro de PressAfrik.
Le mardi, veille du démarrage du carême est qualifié de gras par allusion à certains aliments, dont le beurre, les œufs et la viande. Il vient d’une pratique religieuse chrétienne, qui consistait à s’amuser et à manger "gras" avant le Carême, période de 40 jours de jeûne et d’abstinence précédent Pâques.
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