Au petit matin, alors que le pays dort encore, la déclaration du général Ghazouani passe presque inaperçue. Elle n’est en tous les cas pas encore arrivée dans les quartiers de la capitale favorables à l’opposition. « Moi, je n’ai encore rien entendu, je ne sais rien du tout », déclare surpris un homme croisé dans la rue de Sebkha.
Dans cette commune de Nouakchott, c’est le calme qui domine ce dimanche matin. Quelques affiches de la campagne restent encore placardées aux murs. Plutôt aux couleurs de ces quartiers acquis à l’opposition. Un peu plus loin, devant un magasin, ils sont trois jeunes assis sur une moto. Ibrahim a voté pour Biram. Il est facteur en France, il est revenu en vacances pour les élections. « La déclaration de Ghazouani, c’est du n’importe quoi, estime-t-il. Pour une fois, beaucoup de gens ont été voter, et si Ghazouani a gagné ce n’est pas normal. »
Dans cette commune de Nouakchott, c’est le calme qui domine ce dimanche matin. Quelques affiches de la campagne restent encore placardées aux murs. Plutôt aux couleurs de ces quartiers acquis à l’opposition. Un peu plus loin, devant un magasin, ils sont trois jeunes assis sur une moto. Ibrahim a voté pour Biram. Il est facteur en France, il est revenu en vacances pour les élections. « La déclaration de Ghazouani, c’est du n’importe quoi, estime-t-il. Pour une fois, beaucoup de gens ont été voter, et si Ghazouani a gagné ce n’est pas normal. »
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