Le gouvernement italien a annoncé vendredi, la signature d’un décret interministériel qui ramène le délai pour établir si un migrant peut rester en Italie ou être rapatrié, de deux ans, à au moins maximum quatre mois. Une nouvelle qui a eu l’effet d’une bombe sur la communauté sénégalaise installée en Italie.
C’est dire que désormais, pour les Sénégalais, le délai de traitement des dossiers d’immigration en Italie, qui pouvait atteindre deux ans, est réduit de deux à quatre mois. « Pour établir si un migrant peut rester en Italie, ou être rapatrié, il nous faut, avec ce décret, deux à quatre mois, a déclaré le ministre Di Maio, qui précise que ce décret ne porte « aucune atteinte au droit de l’Homme ».
Il souligne qu’un fonds de rapatriement va être mis en place. Mais ces chiffres sont négligeables. « Nous n’avons pas besoin de fonds pour payer les frais de rapatriement, mais d’un fonds qui nous permet de mettre en œuvre les accords dans le cadre de projets de coopération au développement ».
Un pré-accord a été signé le 23 septembre à Malte par la France, l'Allemagne, l'Italie et Malte et doit être validé par les Etats membres lors d'un conseil européen "Justice et Affaires intérieures" au Luxembourg le 8 octobre.
C’est dire que désormais, pour les Sénégalais, le délai de traitement des dossiers d’immigration en Italie, qui pouvait atteindre deux ans, est réduit de deux à quatre mois. « Pour établir si un migrant peut rester en Italie, ou être rapatrié, il nous faut, avec ce décret, deux à quatre mois, a déclaré le ministre Di Maio, qui précise que ce décret ne porte « aucune atteinte au droit de l’Homme ».
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