Le syndicat national des techniciens et travailleurs de l’agriculture à Kaffrine, une ville du centre-ouest du Sénégal, située à environ 50 km de Kaolack, s'est fait entendre ce mercredi. Ces membres menacent de bloquer les semences s’il n’y a pas de d’analyse des graines au laboratoire. Ils dénoncent l’indifférence de Moussa Baldé, ministre de l'Agriculture.
« Nous demandons une augmentation des salaires. Ce qu’on a c’est une bourse ce n’est un salaire. Parce qu’un fonctionnaire qui n’a même pas 150 000 F Cfa et depuis 2010 nous n’avons pas de véhicule ni de moto ni d’ordinateur, on travaille avec nos propres outils. La semaine passée on a décrétée 24 heures de grève et le ministre n’a pas réagi. Nous déplorons le mutisme du ministre », a déclaré Alassane Ba, chargé des revendications.
Il a ajouté : « S’il est incapable de régler le problème, nous allons directement interpellée le président vu qu’il n’a pas de premier ministre ».
Ces techniciens de l’agriculture menacent de bloquer les certifications des semences : « Les députés sont en train de parler du matériel, des intrants. C’est nous qui faisons la distribution, s’ils nous poussent à parler nous allons parler. Nous allons bloquer tout. S’il n’y a pas d’analyse au laboratoire, il n’y aura pas de semences. C’est nous qui faisons les analyses et la certification des semences ».
« Nous demandons une augmentation des salaires. Ce qu’on a c’est une bourse ce n’est un salaire. Parce qu’un fonctionnaire qui n’a même pas 150 000 F Cfa et depuis 2010 nous n’avons pas de véhicule ni de moto ni d’ordinateur, on travaille avec nos propres outils. La semaine passée on a décrétée 24 heures de grève et le ministre n’a pas réagi. Nous déplorons le mutisme du ministre », a déclaré Alassane Ba, chargé des revendications.
Il a ajouté : « S’il est incapable de régler le problème, nous allons directement interpellée le président vu qu’il n’a pas de premier ministre ».
Ces techniciens de l’agriculture menacent de bloquer les certifications des semences : « Les députés sont en train de parler du matériel, des intrants. C’est nous qui faisons la distribution, s’ils nous poussent à parler nous allons parler. Nous allons bloquer tout. S’il n’y a pas d’analyse au laboratoire, il n’y aura pas de semences. C’est nous qui faisons les analyses et la certification des semences ».
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