Le journalisme est par définition un métier à risque. C’est en substance la conviction de l’ancien rédacteur-en chef de la Rts, Mbaye Sidy Mbaye qui participait au panel organisé jeudi, par Article 19 et le Centre d’études des sciences et techniques de l’information (Cesti).
«Un journaliste qui voudrait faire son travail tranquillement et rentrer à la maison sans problème ça n’existe pas parce qu’il doit savoir qu’il chemine avec le risque », a-t-il déclaré.
A l’en croire, «le journaliste doit savoir qu’il chemine avec le risque et il a choisi de le faire». Et le risque peut venir de tout bord, explique-t-il, même du pouvoir religieux. D’ailleurs, il invite ce dernier à prendre conscience du fait qu’il «peut en tant que membre de la société s’exprimer et exprimer une opinion qui pourrait s’opposer à celle d’un autre pouvoir qui peut être le pouvoir élu».
Avant d’ajouter : «tous les pouvoirs peuvent vous tomber dessus». D’où la nécessité pour le journaliste de se prémunir de la plus sure des garanties : «pour se protéger, les journalistes doivent s’en tenir à la vérité des faits et si un jour un journaliste oublie la vérité des faits, il tombe de lui-même et se suicide».
Pour résumer le tout, M. Mbaye martèle que le journalisme : «c’est simplement l’exercice naturel d’une profession à risque».
«Un journaliste qui voudrait faire son travail tranquillement et rentrer à la maison sans problème ça n’existe pas parce qu’il doit savoir qu’il chemine avec le risque », a-t-il déclaré.
A l’en croire, «le journaliste doit savoir qu’il chemine avec le risque et il a choisi de le faire». Et le risque peut venir de tout bord, explique-t-il, même du pouvoir religieux. D’ailleurs, il invite ce dernier à prendre conscience du fait qu’il «peut en tant que membre de la société s’exprimer et exprimer une opinion qui pourrait s’opposer à celle d’un autre pouvoir qui peut être le pouvoir élu».
Avant d’ajouter : «tous les pouvoirs peuvent vous tomber dessus». D’où la nécessité pour le journaliste de se prémunir de la plus sure des garanties : «pour se protéger, les journalistes doivent s’en tenir à la vérité des faits et si un jour un journaliste oublie la vérité des faits, il tombe de lui-même et se suicide».
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