L'affaire du conducteur de moto Jakarta, Moustapha Dimé, a connu une évolution. Arrêtés par la police de Tivaouane, le présumé meurtrier M.F. Sy et ses acolytes E. D. et W. D. ont été déférés au parquet de Thiès, hier mercredi. Après son face-à-face avec le Juge d'instruction qui a hérité le dossier, le principal accusé M.F. S. est inculpé d'association de malfaiteurs, assassinat avec actes de barbarie et blanchiment de capitaux, rapporte le quotidien L’Observateur.
Il s'est trouvé que c'est cet apprenti- chauffeur qui a tué, puis calciné le corps du défunt Jakartaman, avant de disparaître avec sa moto Jakarta pour aller la revendre à E. Dione. D’après le journal, ce dernier est poursuivi pour association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux, détention de chanvre indien et recel. Tôlier, E. Dione, habitant Nguékhokh, est l'acheteur de la moto Jakarta qui a coûté la vie à Moustapha Dimé.
Le troisième mis en cause, W. D., a bénéficié d'une mise en liberté provisoire. Le Juge d'instruction estimerait que l'implication de cet homme dans cet assassinat n'est pas trop importante, renseigne L’Observateur.
La même source rapporte que le présumé meurtrier M.F. S et son acolyte E. D. sont placé sous mandat de dépôt. Ils ont passé leur première nuit, à la Maison d'arrêt et de correction (Mac) de Thiès.
Pour rappel, le conducteur de moto Jakarta Moustapha Dimé était porté disparu le dimanche 2 juin à Thiès. Deux jours après, le mardi 4 juin, il est retrouvé mort, calciné dans un champ au village de Mbodjène. Les restes de sa dépouille inhumés au cimetière de ce village, une enquête a été ouverte par la police de Tivaouane.
Ce qui a permis de retrouver les parents de la victime, domiciliés au quartier Takhikao de Thiès. Par la suite, M.F. Sy, jeune homme qui était en compagnie de Moustapha Dimé ce jour-là, a été arrêté par la police.
Et lors de son interrogatoire, il a avoué avoir tué, puis brûlé le corps de son ami, avant d'aller à Nguekhokh où il a vendu la moto à E.D. C'est ainsi que ce dernier et l'autre suspect W. D. ont été arrêtés.
Il s'est trouvé que c'est cet apprenti- chauffeur qui a tué, puis calciné le corps du défunt Jakartaman, avant de disparaître avec sa moto Jakarta pour aller la revendre à E. Dione. D’après le journal, ce dernier est poursuivi pour association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux, détention de chanvre indien et recel. Tôlier, E. Dione, habitant Nguékhokh, est l'acheteur de la moto Jakarta qui a coûté la vie à Moustapha Dimé.
Le troisième mis en cause, W. D., a bénéficié d'une mise en liberté provisoire. Le Juge d'instruction estimerait que l'implication de cet homme dans cet assassinat n'est pas trop importante, renseigne L’Observateur.
La même source rapporte que le présumé meurtrier M.F. S et son acolyte E. D. sont placé sous mandat de dépôt. Ils ont passé leur première nuit, à la Maison d'arrêt et de correction (Mac) de Thiès.
Pour rappel, le conducteur de moto Jakarta Moustapha Dimé était porté disparu le dimanche 2 juin à Thiès. Deux jours après, le mardi 4 juin, il est retrouvé mort, calciné dans un champ au village de Mbodjène. Les restes de sa dépouille inhumés au cimetière de ce village, une enquête a été ouverte par la police de Tivaouane.
Ce qui a permis de retrouver les parents de la victime, domiciliés au quartier Takhikao de Thiès. Par la suite, M.F. Sy, jeune homme qui était en compagnie de Moustapha Dimé ce jour-là, a été arrêté par la police.
Et lors de son interrogatoire, il a avoué avoir tué, puis brûlé le corps de son ami, avant d'aller à Nguekhokh où il a vendu la moto à E.D. C'est ainsi que ce dernier et l'autre suspect W. D. ont été arrêtés.
Autres articles
-
Célébration de Pâques : Monseigneur Valter Manga appelle à l’espérance et au partage
-
Ngagne Mbaye inhumé à Mbayène 3 après son décès tragique au Brésil
-
Fonds Covid-19 : l’écrivain Mamadou Ndiaye appelle la justice à aller plus loin
-
Cyberattaque à Dakar : deux (2) jeunes hackers sénégalais arrêtés pour avoir détournés plus de 3 millions de FCFA
-
Sedhiou : Le village de Kobayel crie son besoin urgent d’électricité : « Nous voulons du courant !