Les syndicats d’enseignants réunis au sein du Grand cadre menacent toujours de perturber l’année scolaire en cette période d’examen. Et ce, même après leur rencontre avec l’association des parents d’élèves. «L’Union nationale des associations de parents d’élèves nous a demandé solennellement, lors de notre rencontre de la semaine dernière, de tout faire pour ne pas mettre à exécution nos menaces. Nous leur avons dit que c’était possible, mais à condition que le gouvernement accepte de respecter ses engagements. Nous vous demandons de dire à l’Etat de respecter les enseignants, a déclaré Oumar Waly Zoumaro, le 1e vice-président du Grand cadre.
Et le syndicaliste de préciser pour ceux qui croyaient que le risque d’une année blanche est derrière nous : «tant que la date butoir du 31 juillet n’est pas arrivée, nous ne pouvons pas dire que l’année scolaire sera sauvée. Au 31 juillet, si les indemnités ne sont pas payées, nous arrêtons tout», a-t-il menacé.
Selon ces enseignants, le gouvernement traine les pieds en ce qui concerne «la demande de caution pour les dossiers des rappels d’intégration à ceux qui ont été reclassés récemment après l’audit du système de rémunération. Les pré rapports ne sont pas encore mis à la disposition des syndicats, il y a beaucoup d’erreur dans le mouvement national», ont-ils dénoncé.
Mais le Saems ne s’associe pas à ces menaces. Néanmoins, les camarades d’Abdoulaye Ndoye demandent à l’Etat «de respecter ses engagements et les protocoles» ; et ceci parce que : «Nous avions dit au gouvernement d’anticiper sur les paiements pour permettre aux correcteurs de voyager correctement, de percevoir leurs avances à temps», a déclaré le leader syndical.
Et le syndicaliste de préciser pour ceux qui croyaient que le risque d’une année blanche est derrière nous : «tant que la date butoir du 31 juillet n’est pas arrivée, nous ne pouvons pas dire que l’année scolaire sera sauvée. Au 31 juillet, si les indemnités ne sont pas payées, nous arrêtons tout», a-t-il menacé.
Selon ces enseignants, le gouvernement traine les pieds en ce qui concerne «la demande de caution pour les dossiers des rappels d’intégration à ceux qui ont été reclassés récemment après l’audit du système de rémunération. Les pré rapports ne sont pas encore mis à la disposition des syndicats, il y a beaucoup d’erreur dans le mouvement national», ont-ils dénoncé.
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