C’est ainsi que Ouakam reçoit depuis le début de la construction du monument « des torrents de boues. Et, chaque fois qu’il pleut les Ouakamois pataugent dans la boue » se désole le président d’Ave. Il y a aussi des "phénomènes érosifs" de la commune des mamelles, le changement climatique et l’action anthropophage de ce phare qui constitue un fard pour la navigation maritime.
En plus des dégâts causés par le monument de la renaissance, il y a « la délocalisation d’une partie de l’aéroport, la construction de certains complexes touristiques entre autres », renseigne Oumar Ngalla. C’est dans cette mouvance qu’il invite « les Ouakamois à se positionner à travers ces projets pour marquer leur empreinte ». Mieux, Oumar Ngalla Diagne demande à « l’Etat de prendre en compte l’opinion de la société civile qui représente la majorité à Ouakam au lieu de se contenter du milieu traditionnel comme interlocuteur » suggère Oumar Ngalla Diagne.
Le président de l’Association des volontaires de l’environnement a rappelé que « le Sénégal a signé la convention internationale des eaux internationales ». Ce qui fait que si le phare se dégrade et tombe, « il n’y aura plus de navigation et d’autres pays de la sous-région vont subir les conséquences sur le plan économiques » avertit-il.
L’Association des volontaires de l’environnement a organisé un séminaire de trois jours (du 02 au 04 novembre) dans le cadre de son programme de renforcement des capacités pour une conscience citoyenne environnementale à Ouakam.
En plus des dégâts causés par le monument de la renaissance, il y a « la délocalisation d’une partie de l’aéroport, la construction de certains complexes touristiques entre autres », renseigne Oumar Ngalla. C’est dans cette mouvance qu’il invite « les Ouakamois à se positionner à travers ces projets pour marquer leur empreinte ». Mieux, Oumar Ngalla Diagne demande à « l’Etat de prendre en compte l’opinion de la société civile qui représente la majorité à Ouakam au lieu de se contenter du milieu traditionnel comme interlocuteur » suggère Oumar Ngalla Diagne.
Le président de l’Association des volontaires de l’environnement a rappelé que « le Sénégal a signé la convention internationale des eaux internationales ». Ce qui fait que si le phare se dégrade et tombe, « il n’y aura plus de navigation et d’autres pays de la sous-région vont subir les conséquences sur le plan économiques » avertit-il.
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