La marathonienne ougandaise Rebecca Cheptegei est décédée des suites de ses brûlures, a annoncé ce jeudi 5 septembre le président du Comité olympique ougandais, quatre jours après qu’un homme présenté comme son compagnon l’a immolée par le feu dans l’ouest du Kenya.
« Nous avons appris le triste décès de notre athlète olympique Rebecca Cheptegei à la suite d’une violente agression de son petit ami. Que son âme repose en paix et nous condamnons fermement la violence contre les femmes », a déclaré le président du comité olympique ougandais Donald Rukare dans un message sur X. « Il s’agit d’un acte lâche et insensé qui a conduit à la perte d’une grande athlète. Son héritage perdurera », a-t-il ajouté.
La Fédération ougandaise d’athlétisme s’est dite « profondément attristée » du décès de son athlète « victime tragique de violences conjugales », dans un message sur X. « Nous condamnons de tels actes et appelons à la justice ».
Pour r appel, un suspect identifié comme Dickson Ndiema Marangach s’est introduit dans la propriété de Rebecca Cheptegei dimanche vers 14h, alors qu’elle se trouvait à l’église avec ses enfants.
La marathonienne vivait avec sa sœur et ses deux enfants dans cette maison qu’elle avait fait construire à Endebess, localité où elle s’entraînait située à 25 kilomètres de la frontière ougandaise, a détaillé mardi son père Joseph Cheptegei, présent à Eldoret. À leur retour de l’église, il l’a arrosée d’essence et a mis le feu sous les yeux de ses enfants, deux fillettes âgées de 9 et 11 ans.
« Nous avons appris le triste décès de notre athlète olympique Rebecca Cheptegei à la suite d’une violente agression de son petit ami. Que son âme repose en paix et nous condamnons fermement la violence contre les femmes », a déclaré le président du comité olympique ougandais Donald Rukare dans un message sur X. « Il s’agit d’un acte lâche et insensé qui a conduit à la perte d’une grande athlète. Son héritage perdurera », a-t-il ajouté.
La Fédération ougandaise d’athlétisme s’est dite « profondément attristée » du décès de son athlète « victime tragique de violences conjugales », dans un message sur X. « Nous condamnons de tels actes et appelons à la justice ».
Pour r appel, un suspect identifié comme Dickson Ndiema Marangach s’est introduit dans la propriété de Rebecca Cheptegei dimanche vers 14h, alors qu’elle se trouvait à l’église avec ses enfants.
La marathonienne vivait avec sa sœur et ses deux enfants dans cette maison qu’elle avait fait construire à Endebess, localité où elle s’entraînait située à 25 kilomètres de la frontière ougandaise, a détaillé mardi son père Joseph Cheptegei, présent à Eldoret. À leur retour de l’église, il l’a arrosée d’essence et a mis le feu sous les yeux de ses enfants, deux fillettes âgées de 9 et 11 ans.
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