Le syndicat des enseignants libres du Sénégal (Sels) veut déterrer la hache de guerre et promet un mois de janvier « très chaud » contre le gouvernement qui peine à respecter ses engagements vis-à-vis des enseignants. Une déclaration faite lors de la 18ème édition de la journée internationale du volontariat (Jiv) tenu samedi à Gossas.
«Aujourd’hui nous sommes dans une dynamique de lutte et très certainement le mois de janvier sera un mois de lutte effrénée du mouvement syndical dans le secteur de l’éducation et de la formation », a décrété le Secrétaire général dudit syndicat.
Ainsi, Souleymane Diallo appelle le gouvernement et surtout le chef de l’Etat de faire des efforts supplémentaires dans le sens d’appliquer les accords signés avec les organisations syndicales de l’enseignement afin d’ouvrir des négociations sur les nouvelles préoccupations desdits syndicats.
Selon lui, la situation de l’école sénégalaise est malade de ses orientations, de son pilotage mais aussi de l’insuffisance des ressources qui lui sont allouées.
La preuve, indique-t-il, le système éducatif note un déficit criard d’enseignants. S'y ajoute l'énorme dette de 85 milliards de francs CFA constituée de rappels d'intégration, de validation, et de reclassements que l'Etat leur doit.
«Aujourd’hui nous sommes dans une dynamique de lutte et très certainement le mois de janvier sera un mois de lutte effrénée du mouvement syndical dans le secteur de l’éducation et de la formation », a décrété le Secrétaire général dudit syndicat.
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