Le Curé de la paroisse Saint Théophile de Kaolack, Abbé Pierre Dione a interpelé l’Etat, les chefs religieux, la société civile sur les dangers qui menacent le pays après le meurtre à Sangalkam de Malick Bâ.
«C’est un appel pressant que j’adresse à toutes les couches de la société pour que nous ayons à cœur de garder ce climat pacifique dans notre pays», a lancé l’abbé Théophile Dione qui estime que quand il y a menace il « est de notre devoir d’agir».
Selon lui, la mobilisation et le discernement doivent être le fait de toute la population. «Que nous essayions d’analyser ce qui se passe à Sangalkam», a-t-il exhorté en indiquant : (…) Moi, en tant que prêtre, je tente de l’analyser à la lumière de la parole de Dieu en partant du commandement qui interdit de tuer.
«Je pense que c’est quelque chose, au-delà même du fait religieux, qui appelle simplement à la conscience humaine», a relevé abbé Dione qui soutient : Quand Dieu nous parle via la loi naturelle, notre conscience, il nous dit que nous n’avons pas le droit de porter atteinte à la vie de quelqu’un et on n’a pas le droit de se faire justice…
C’est ainsi, qu’il recommande le dialogue pour mieux se comprendre.
«Il faudrait que nous trouvions d’autres lieux de rencontre, le Sénégalais aime bien dialoguer et c’est ensemble que nous pouvons trouver des solutions», a prêché le prélat.
A noter que le prêtre a fait ces déclarations suite au meurtre de ce jeune manifestant (Malick Bâ) contre l'installation de la délégation spéciale à Sangalkam.
«C’est un appel pressant que j’adresse à toutes les couches de la société pour que nous ayons à cœur de garder ce climat pacifique dans notre pays», a lancé l’abbé Théophile Dione qui estime que quand il y a menace il « est de notre devoir d’agir».
Selon lui, la mobilisation et le discernement doivent être le fait de toute la population. «Que nous essayions d’analyser ce qui se passe à Sangalkam», a-t-il exhorté en indiquant : (…) Moi, en tant que prêtre, je tente de l’analyser à la lumière de la parole de Dieu en partant du commandement qui interdit de tuer.
«Je pense que c’est quelque chose, au-delà même du fait religieux, qui appelle simplement à la conscience humaine», a relevé abbé Dione qui soutient : Quand Dieu nous parle via la loi naturelle, notre conscience, il nous dit que nous n’avons pas le droit de porter atteinte à la vie de quelqu’un et on n’a pas le droit de se faire justice…
C’est ainsi, qu’il recommande le dialogue pour mieux se comprendre.
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