L'Organisation mondiale de la santé (OMS) sonne l'alarme face à la propagation rapide de l'épidémie de Mpox, anciennement connue sous le nom de « variole du singe », en République démocratique du Congo (RDC). L'OMS exprime des inquiétudes quant à une éventuelle propagation internationale de cette maladie.
Au cours d'une conférence de presse à Genève le 15 décembre, l'OMS a signalé que l'épidémie de Mpox se propage rapidement en RDC, enregistrant cette année plus de 13 000 cas suspects et plus de 600 décès. À en L’Observateur, ce chiffre représente le double du nombre de cas signalés au cours des années précédentes. Le nouvel aspect alarmant de cette situation réside dans le fait que le virus affecte davantage les femmes que les hommes, une tendance nouvelle et préoccupante pour l'OMS.
Cette épidémie actuelle inquiète particulièrement l'OMS car elle s'étend à des zones auparavant considérées comme préservées de la « variole du singe », y compris la ville de Kinshasa. De plus, c'est la première fois qu'une transmission sexuelle est observée parmi les patients atteints de ce nouveau variant. L'OMS signale également des flambées de la maladie en Asie, notamment au Japon, au Vietnam, en Chine et en Indonésie.
Le virus Mpox est une maladie infectieuse se caractérisant par une éruption cutanée, souvent accompagnée de fièvre ou de ganglions. Sa transmission peut se faire par contact direct avec les lésions cutanées ou les muqueuses d'une personne malade, ainsi que par les gouttelettes (salive, éternuements, postillons) et par contact indirect avec l'environnement du malade (linge, vaisselle, literie). La durée de la maladie varie généralement de deux à trois semaines.
Au cours d'une conférence de presse à Genève le 15 décembre, l'OMS a signalé que l'épidémie de Mpox se propage rapidement en RDC, enregistrant cette année plus de 13 000 cas suspects et plus de 600 décès. À en L’Observateur, ce chiffre représente le double du nombre de cas signalés au cours des années précédentes. Le nouvel aspect alarmant de cette situation réside dans le fait que le virus affecte davantage les femmes que les hommes, une tendance nouvelle et préoccupante pour l'OMS.
Cette épidémie actuelle inquiète particulièrement l'OMS car elle s'étend à des zones auparavant considérées comme préservées de la « variole du singe », y compris la ville de Kinshasa. De plus, c'est la première fois qu'une transmission sexuelle est observée parmi les patients atteints de ce nouveau variant. L'OMS signale également des flambées de la maladie en Asie, notamment au Japon, au Vietnam, en Chine et en Indonésie.
Le virus Mpox est une maladie infectieuse se caractérisant par une éruption cutanée, souvent accompagnée de fièvre ou de ganglions. Sa transmission peut se faire par contact direct avec les lésions cutanées ou les muqueuses d'une personne malade, ainsi que par les gouttelettes (salive, éternuements, postillons) et par contact indirect avec l'environnement du malade (linge, vaisselle, literie). La durée de la maladie varie généralement de deux à trois semaines.
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