«Atoojob est un plus. Il signifie quelque chose de plus, de différent de ce qui se passe actuellement dans le marché. Quand on parle de plateforme qui est gratuit, que l’on soit demandeur ou entrepreneur, elle facilite l’information aux jeunes demandeurs d’emploi et gratuitement. Ça permet aux entreprises de passer une annonce sans pour autant payer», définit le concepteur, Amadou Gueye Cissoko.
Parlant des objectifs de la plateforme Atoojob, il explique: «Lorsque nous avons construit ce site, on était confronté à des problèmes de recrutements. Je suis entrepreneur, je n’avais pas d’argent. Je me suis dit, il faut mettre en place une plateforme pour passer l’information et obtenir ce que je veux, aider aussi d’autres personnes à trouver ce qu’ils veulent à travers le site et cela gratuitement. Je dirais, c’est un droit pour les jeunes d’accéder à l’information de l’emploi. Nous avons travaillé pour mettre en place des informations fiables parce qu’on ne veut pas qu’on y mette des informations qui n’existent pas».
D'ores et déjà, «il y a plus de 15 000 inscrit sur la plateforme, 2000 visiteurs par jour», assure-t-il en indiquant qu'il a également prévu «de former les jeunes demandeurs d’emploies en développant des coachings. Ce pour avoir la culture d’entreprise. Permettre à chacun d’être productif et de créer de la valeur».
Le Directeur général de l'ANPEJ, de se réjouir: «Monsieur Cissoko a accepté d’accompagner l’Etat dans un des domaines qu’il a jugé prioritaire: L’emploi des jeunes. Et merci d’avoir accepté d’associé l’ANPEJ à votre plateforme. C’est un partenariat naturel parce que l’agence a été créé il y a trois (3) ans pour essayer d'accompagner tous les jeunes demandeurs d’emploi dans des processus d’insertions professionnels. Les fonds dont nous disposons sont totalement mis à la disposition des PME, des entreprises qui acceptent d’accompagner ces jeunes qui sont à la recherche de la première expérience en entreprise. Et aujourd’hui, dans le cadre du Projet d'Appui à la Promotion de l'Emploi des Jeunes et des Femmes (PAPEJF), qui est financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) pour un montant de treize (13) milliards, nous avons pensé régler cette question de la facilitation de l’accès à l’information sur le marché de l’emploi».
Parlant des objectifs de la plateforme Atoojob, il explique: «Lorsque nous avons construit ce site, on était confronté à des problèmes de recrutements. Je suis entrepreneur, je n’avais pas d’argent. Je me suis dit, il faut mettre en place une plateforme pour passer l’information et obtenir ce que je veux, aider aussi d’autres personnes à trouver ce qu’ils veulent à travers le site et cela gratuitement. Je dirais, c’est un droit pour les jeunes d’accéder à l’information de l’emploi. Nous avons travaillé pour mettre en place des informations fiables parce qu’on ne veut pas qu’on y mette des informations qui n’existent pas».
D'ores et déjà, «il y a plus de 15 000 inscrit sur la plateforme, 2000 visiteurs par jour», assure-t-il en indiquant qu'il a également prévu «de former les jeunes demandeurs d’emploies en développant des coachings. Ce pour avoir la culture d’entreprise. Permettre à chacun d’être productif et de créer de la valeur».
Le Directeur général de l'ANPEJ, de se réjouir: «Monsieur Cissoko a accepté d’accompagner l’Etat dans un des domaines qu’il a jugé prioritaire: L’emploi des jeunes. Et merci d’avoir accepté d’associé l’ANPEJ à votre plateforme. C’est un partenariat naturel parce que l’agence a été créé il y a trois (3) ans pour essayer d'accompagner tous les jeunes demandeurs d’emploi dans des processus d’insertions professionnels. Les fonds dont nous disposons sont totalement mis à la disposition des PME, des entreprises qui acceptent d’accompagner ces jeunes qui sont à la recherche de la première expérience en entreprise. Et aujourd’hui, dans le cadre du Projet d'Appui à la Promotion de l'Emploi des Jeunes et des Femmes (PAPEJF), qui est financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) pour un montant de treize (13) milliards, nous avons pensé régler cette question de la facilitation de l’accès à l’information sur le marché de l’emploi».
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