Le député Ousmane Sonko, accusé de « viols répétitifs avec arme à feu et menaces de mort », par une jeune masseuse, ne va pas répondre à la convocation de la Section de recherches, même si son immunité parlementaire est levée. C’est du moins ce qui ressort de sa conférence de presse ce jeudi.
Face à la presse, l’opposant a fait savoir que son immunité parlementaire « ne peut pas être levée par la commission ad hoc de l’Assemblée nationale ». Il a évoqué l’illégalité de la procédure et le règlement intérieur de l’Assemblée nationale pour justifier sa décision de ne pas aller répondre à la convocation.
« Si vous vous rappelez de ma déclaration la fois passée, j’ai dit que si mon immunité parlementaire est levée en respectant les règles, j’irai répondre à la convocation. Mais, au vue de la situation, les règles ne sont pas respectées », a expliqué Sonko.
Poursuivant, l’opposant a également évoqué le règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui stipule que pour lever l’immunité parlementaire d’un député, il faut impérativement 11 députés dans la commission ad hoc. Alors que avec la démission de deux parlementaires de l’opposition, à savoir Guirassy et Cheikh Bamba Dièye, il ne restera que 9 membres. Ce qui fait dire à Sonko que cette commission ne peut pas lever son immunité parlementaire.
Face à la presse, l’opposant a fait savoir que son immunité parlementaire « ne peut pas être levée par la commission ad hoc de l’Assemblée nationale ». Il a évoqué l’illégalité de la procédure et le règlement intérieur de l’Assemblée nationale pour justifier sa décision de ne pas aller répondre à la convocation.
« Si vous vous rappelez de ma déclaration la fois passée, j’ai dit que si mon immunité parlementaire est levée en respectant les règles, j’irai répondre à la convocation. Mais, au vue de la situation, les règles ne sont pas respectées », a expliqué Sonko.
Poursuivant, l’opposant a également évoqué le règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui stipule que pour lever l’immunité parlementaire d’un député, il faut impérativement 11 députés dans la commission ad hoc. Alors que avec la démission de deux parlementaires de l’opposition, à savoir Guirassy et Cheikh Bamba Dièye, il ne restera que 9 membres. Ce qui fait dire à Sonko que cette commission ne peut pas lever son immunité parlementaire.
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