Les députés de l'Assemblée nationale se sont réunis ce jeudi 29 août 2024, en séance plénière pour l'ouverture de la deuxième session extraordinaire de l'année. 98 parlementaires étaient présents.
Après l'ouverture, Moussa Diakhaté, député de Benno Bokk Yakaar (Bby), a annoncé sa participation à la conférence des présidents, qui se tiendra de manière immédiate.
« Je vais participer à la conférence des présidents qui va se réunir de facto, où je serai saisi en tant que président de la commission des lois pour proposer un agenda de travail : une date pour la commission technique et une date pour la plénière. Nous allons immédiatement nous rendre en conférence des présidents pour fixer cet agenda de travail. J'appartiens au groupe Benno Bokk Yakaar, dirigé par le président Abdou Mbow, et le groupe se prononcera sur la question de savoir s'il est d'accord pour la dissolution du HCCT et du CESE. Une fois que nous aurons pris connaissance, en bonne et due forme, du décret du président de la République, nous vous informerons de notre position concernant ce projet de loi visant à dissoudre le HCCT et le CESE. »
Ismaïla Diallo, député du Pastef, a également exprimé son point de vue concernant l'ouverture de la session et les discussions à venir. Il a affirmé qu'il est d'accord pour la dissolution du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE).
« Aujourd'hui, notre crainte était de ne pas atteindre le quorum, mais heureusement, nous l'avons atteint, et la session extraordinaire a été ouverte. On nous convoque immédiatement à la conférence des présidents pour fixer le calendrier, puis nous irons en commission technique, et enfin en plénière. La loi qui encadre l'article 63 de la constitution a été bien respectée concernant la suppression de ces institutions. C'est un vœu pieux, autant pour nous, députés issus de Yewwi Askan Wi, que pour le peuple, car c'est ce dernier qui l'a validé en votant à 54,28 % pour la coalition Diomaye Président. À juste titre, il faut saluer cette démarche », a-t-il indiqué.
Le parlementaire a ajouté : «On doit constater une rupture totale et voir si nous représentons vraiment le peuple ou si nous suivons les désirs d'une seule personne. Les Sénégalais veulent que l'on supprime ces institutions budgétivores qui nous coûtent 15,3 milliards de FCFA ; ce sont 75 milliards de FCFA qui pourraient être utilisés pour d'autres priorités, telles que la formation des jeunes et le soutien aux coopératives agricoles. »
Après l'ouverture, Moussa Diakhaté, député de Benno Bokk Yakaar (Bby), a annoncé sa participation à la conférence des présidents, qui se tiendra de manière immédiate.
« Je vais participer à la conférence des présidents qui va se réunir de facto, où je serai saisi en tant que président de la commission des lois pour proposer un agenda de travail : une date pour la commission technique et une date pour la plénière. Nous allons immédiatement nous rendre en conférence des présidents pour fixer cet agenda de travail. J'appartiens au groupe Benno Bokk Yakaar, dirigé par le président Abdou Mbow, et le groupe se prononcera sur la question de savoir s'il est d'accord pour la dissolution du HCCT et du CESE. Une fois que nous aurons pris connaissance, en bonne et due forme, du décret du président de la République, nous vous informerons de notre position concernant ce projet de loi visant à dissoudre le HCCT et le CESE. »
Ismaïla Diallo, député du Pastef, a également exprimé son point de vue concernant l'ouverture de la session et les discussions à venir. Il a affirmé qu'il est d'accord pour la dissolution du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE).
« Aujourd'hui, notre crainte était de ne pas atteindre le quorum, mais heureusement, nous l'avons atteint, et la session extraordinaire a été ouverte. On nous convoque immédiatement à la conférence des présidents pour fixer le calendrier, puis nous irons en commission technique, et enfin en plénière. La loi qui encadre l'article 63 de la constitution a été bien respectée concernant la suppression de ces institutions. C'est un vœu pieux, autant pour nous, députés issus de Yewwi Askan Wi, que pour le peuple, car c'est ce dernier qui l'a validé en votant à 54,28 % pour la coalition Diomaye Président. À juste titre, il faut saluer cette démarche », a-t-il indiqué.
Le parlementaire a ajouté : «On doit constater une rupture totale et voir si nous représentons vraiment le peuple ou si nous suivons les désirs d'une seule personne. Les Sénégalais veulent que l'on supprime ces institutions budgétivores qui nous coûtent 15,3 milliards de FCFA ; ce sont 75 milliards de FCFA qui pourraient être utilisés pour d'autres priorités, telles que la formation des jeunes et le soutien aux coopératives agricoles. »
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