La fédération des femmes réformatrices dans une note rendue publique pensent que l’argument selon lequel la parité est la raison pour laquelle la sœur Aïda Mbodj devrait remplacer FADA à la tête du groupe parlementaire des libéraux et démocrates est une comédie politique qui cache mal le désir profond d’humilier un homme constant qui a toujours eu le courage de ses idées. Elles réclament aussi, l’exclusion de la sœur Aïda Mbodj pour avoir foulé au pied les décisions du congrès du 21 mars.
La fédération nationale des femmes réformatrices fustigent également le comportement « inélégant et inconstant des détracteurs du chef de file des réformateurs pour avoir osé porter le combat pour la survie du parti ».
Elles finissent par estimer que la décision prise par des instances irrégulières du parti d’exclure le frère Modou Diagne FADA est nulle et de nul effet.
La fédération nationale des femmes réformatrices fustigent également le comportement « inélégant et inconstant des détracteurs du chef de file des réformateurs pour avoir osé porter le combat pour la survie du parti ».
Elles finissent par estimer que la décision prise par des instances irrégulières du parti d’exclure le frère Modou Diagne FADA est nulle et de nul effet.
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