«Nous n’avons pas assisté à la cérémonie d’ouverture du procès parce que notre client n’a pas bénéficié de tous ses droits». Ces propos sont d’Ibrahima Diawara, l’un des avocats d’Hissène Habré. En effet, selon lui, les droits de l’ancien Président tchadien ont été foulés au pied car, la loi stipule qu’un accusé a le droit de comparaitre. Mais, s’il le désire, il peut décider de ne pas assister aux audiences. Ce qu’on a refusé à M. Habré, d’où le refus de ses avocats de l’accompagner.
Une autre attitude des juges que Me Diawara a dénoncé, ce sont les avocats qu’ils ont commis d’office pour défendre les intérêts de M. Habré. L’avocat considère que la Cour n’en avait pas non plus le droit, car l’accusé ne manque pas de moyens pour en commettre.
Une autre attitude des juges que Me Diawara a dénoncé, ce sont les avocats qu’ils ont commis d’office pour défendre les intérêts de M. Habré. L’avocat considère que la Cour n’en avait pas non plus le droit, car l’accusé ne manque pas de moyens pour en commettre.
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