Il s’agit de deux ressortissants libyens que les Etats-Unis nous on fourgué en brandissant des mesures humanitaires, des justifications reprises sans broncher par le gouvernement du Sénégal. Deux libyens arrivent mais ce qu’Abdoulaye Daouda Diallo n’a pas dit au Sénégalais, c’est que les deux ex prisonniers seraient libres de tout mouvement, une fois qu’ils fouleront le sol sénégalais. Une malheureuse coïncidence avec l’affaire du «Panama papers», qui n’a pas laissé de marbre les internautes sénégalais.
Et, pour ce membre de la société civile en l’occurrence Birahim Seck toutes ces affaires qui arrivent au même moment n’assurent guère car il croit dure comme fer que ces deux affaires qui tombent à pic ne soit pas de pur hasard. Ce qui le pousse à se poser autant d’interrogations sur l’arrivée de ces ex détenus de la célèbre prison de Guantanamo, « Si des dirigeants politiques acceptent une chose aussi cruciale que le transfert de «terroristes» dans votre pays, ne vous étonnez pas. Il faut juste vous poser une question : quelle est la contrepartie de cette surexposition du Sénégal à la menace djihadiste ? En tout cas, la pilule «de la raison humanitaire» ou de la «téranga» sénégalaise ne pourrait point passer. Dans un contexte du PANAMA PAPERS, cette acceptation de dangereux «terroristes» n’est-elle pas précipitée ? Est-ce à dire que les américains sont trop informés sur le placement de fonds de ceux qui nous dirigent ? Ayons à l’esprit que celui qui a organisé la fuite des documents au journal allemand vers le consortium de journalistes d’investigation, n’a donné que ce qu’il voulait que l’on sache. Et le reste des informations?
Des interrogations légitimes si on sait que le Congrès américain à poser son véto sur la table pour refuser l’arrivée de ces ex détenus de Guantanamo jugés dangereux par l’administration Obama au point de les garder dans une Ile loin de chez eux. Des inquiétudes partagées par bon nombres de personnes notamment les internautes. C’est le cas d’Abdou Khadre Lô qui est d’avis certes que nous sommes une terre d’accueil, mais a quel prix ?«Le Sénégal est un beau pays, réputé pour son sens de l’hospitalité, sa fameuse Téranga. Mais est-ce une raison pour nous «refourguer» des ex-détenus de la prison américaine de Guantanamo ?
A l’en croire, l’administration Obama doit à elle seule assumer l’entière responsabilité de ses erreurs résultantes de cette lutte sans limites contre une hydre dont il difficile de décapiter la tête, «les USA, seuls responsables de la situation humanitaire de Salem Abdul Salem Ghereby et Omar Khalif Mohammed Abu Baker et de tous les autres détenus de cette prison de la torture, ne pouvaient-ils pas les accueillir sur leur sol? Bonne question qui hélas n’aura pas du moins pour nous autres sénégalais une réponse qui nous a mis devant le fait accomplis de l’arrivée de deux libyens qui installe une psychose au niveau de certaines personnes et pour d’autres des questionnements.
Cependant, ce que cet internaute n’arrive pas saisir, c’est le pourquoi du Sénégal, un pays avec des moyens limités «l’Amérique a beaucoup plus de moyens que le Sénégal pour accueillir et surveiller les deux Libyens. Oui à l’assistance humanitaire. Non au partage des risques et dommages collatéraux. L’Amérique ne nous avait pas demandé notre avis au moment de déclencher les hostilités. Qu’elle assume donc ses errements. Et, selon Abdou Khadre Lô «Etre indépendant, c’est aussi savoir dire NON», s’offusque sur un ton amer ce dernier sur son compte facebook.
Mais entre l’arrivée des ex détenus de la célèbre prison de Guantanamo et l’affaire du «Panama Papers», les deux affaires ne son pas passées sous le nez et la barbe des internautes. Deux nouvelles qui continuent de susciter de vives interrogations sur la toile. Toutefois pour cet internaute, une dame, croit dure avec la foi d’une nouvelle convertie «qu’avec ces deux ex détenus, la menace est réelle, car à l’en croire ces deux libyens sont spécialistes dans la fabrication d’explosifs formés par Al-Qaïda», précise telle.
Des interrogations que partage, une autre internaute qui croit que des choses aussi sérieuses qui concernent la sécurité du pays devaient recueillir l’adhésion de tous, «Pour des questions aussi importantes pour la sécurité d'un pays, l'Etat ne doit pas détenir la décision exclusive. Rien ne nous garantie de la fiabilité des conditions d'échange ni des conséquences qui pourraient en découler concernant l’affaire des ex détenus», déplore cette dame sur son compte facebook.
De réelles inquiétudes qui nécessitent des éclaircissements de la part des autorités de la République qui dés le début ont soutenu par le canal de son ministre de l’Intérieur, que ces deux libyens sont libres de toute charge. Mais entre l’accueil de deux libyens et l’affaire du «Panama-papers, une boite de pandore qui n’a pas encore révélée tous ces secrets qui soulèvent un chapelet d’interrogations car leur coïncidence n’a rien d’hasardeuse si on sait que l’histoire des comptes offshore a été découvert par des américains avant de filer la patate douce aux journalistes d’investigation.
Les justifications invoquées par les autorités sénégalaises pour accueillir deux ex geôliers de Guantanamo jugés dangereux au point d’être détenus pendant quatorze ans (14), notamment humanitaires sont louables car il est une obligation des hommes de préserver la vie de chaque être humain.
Mais dans un contexte géopolitique marqué par la menace terroriste il importe pour les Etats aussi vulnérables que les nôtres de prendre de nouveaux paradigmes face aux nouvelles menaces. En dépit des assurances des ministres de l’Intérieur de son homologue de la justice et plus récent de celui en charge des Affaires étrangères ils n’ont point convaincus.
Et, pour ce membre de la société civile en l’occurrence Birahim Seck toutes ces affaires qui arrivent au même moment n’assurent guère car il croit dure comme fer que ces deux affaires qui tombent à pic ne soit pas de pur hasard. Ce qui le pousse à se poser autant d’interrogations sur l’arrivée de ces ex détenus de la célèbre prison de Guantanamo, « Si des dirigeants politiques acceptent une chose aussi cruciale que le transfert de «terroristes» dans votre pays, ne vous étonnez pas. Il faut juste vous poser une question : quelle est la contrepartie de cette surexposition du Sénégal à la menace djihadiste ? En tout cas, la pilule «de la raison humanitaire» ou de la «téranga» sénégalaise ne pourrait point passer. Dans un contexte du PANAMA PAPERS, cette acceptation de dangereux «terroristes» n’est-elle pas précipitée ? Est-ce à dire que les américains sont trop informés sur le placement de fonds de ceux qui nous dirigent ? Ayons à l’esprit que celui qui a organisé la fuite des documents au journal allemand vers le consortium de journalistes d’investigation, n’a donné que ce qu’il voulait que l’on sache. Et le reste des informations?
Des interrogations légitimes si on sait que le Congrès américain à poser son véto sur la table pour refuser l’arrivée de ces ex détenus de Guantanamo jugés dangereux par l’administration Obama au point de les garder dans une Ile loin de chez eux. Des inquiétudes partagées par bon nombres de personnes notamment les internautes. C’est le cas d’Abdou Khadre Lô qui est d’avis certes que nous sommes une terre d’accueil, mais a quel prix ?«Le Sénégal est un beau pays, réputé pour son sens de l’hospitalité, sa fameuse Téranga. Mais est-ce une raison pour nous «refourguer» des ex-détenus de la prison américaine de Guantanamo ?
A l’en croire, l’administration Obama doit à elle seule assumer l’entière responsabilité de ses erreurs résultantes de cette lutte sans limites contre une hydre dont il difficile de décapiter la tête, «les USA, seuls responsables de la situation humanitaire de Salem Abdul Salem Ghereby et Omar Khalif Mohammed Abu Baker et de tous les autres détenus de cette prison de la torture, ne pouvaient-ils pas les accueillir sur leur sol? Bonne question qui hélas n’aura pas du moins pour nous autres sénégalais une réponse qui nous a mis devant le fait accomplis de l’arrivée de deux libyens qui installe une psychose au niveau de certaines personnes et pour d’autres des questionnements.
Cependant, ce que cet internaute n’arrive pas saisir, c’est le pourquoi du Sénégal, un pays avec des moyens limités «l’Amérique a beaucoup plus de moyens que le Sénégal pour accueillir et surveiller les deux Libyens. Oui à l’assistance humanitaire. Non au partage des risques et dommages collatéraux. L’Amérique ne nous avait pas demandé notre avis au moment de déclencher les hostilités. Qu’elle assume donc ses errements. Et, selon Abdou Khadre Lô «Etre indépendant, c’est aussi savoir dire NON», s’offusque sur un ton amer ce dernier sur son compte facebook.
Mais entre l’arrivée des ex détenus de la célèbre prison de Guantanamo et l’affaire du «Panama Papers», les deux affaires ne son pas passées sous le nez et la barbe des internautes. Deux nouvelles qui continuent de susciter de vives interrogations sur la toile. Toutefois pour cet internaute, une dame, croit dure avec la foi d’une nouvelle convertie «qu’avec ces deux ex détenus, la menace est réelle, car à l’en croire ces deux libyens sont spécialistes dans la fabrication d’explosifs formés par Al-Qaïda», précise telle.
Des interrogations que partage, une autre internaute qui croit que des choses aussi sérieuses qui concernent la sécurité du pays devaient recueillir l’adhésion de tous, «Pour des questions aussi importantes pour la sécurité d'un pays, l'Etat ne doit pas détenir la décision exclusive. Rien ne nous garantie de la fiabilité des conditions d'échange ni des conséquences qui pourraient en découler concernant l’affaire des ex détenus», déplore cette dame sur son compte facebook.
De réelles inquiétudes qui nécessitent des éclaircissements de la part des autorités de la République qui dés le début ont soutenu par le canal de son ministre de l’Intérieur, que ces deux libyens sont libres de toute charge. Mais entre l’accueil de deux libyens et l’affaire du «Panama-papers, une boite de pandore qui n’a pas encore révélée tous ces secrets qui soulèvent un chapelet d’interrogations car leur coïncidence n’a rien d’hasardeuse si on sait que l’histoire des comptes offshore a été découvert par des américains avant de filer la patate douce aux journalistes d’investigation.
Les justifications invoquées par les autorités sénégalaises pour accueillir deux ex geôliers de Guantanamo jugés dangereux au point d’être détenus pendant quatorze ans (14), notamment humanitaires sont louables car il est une obligation des hommes de préserver la vie de chaque être humain.
Mais dans un contexte géopolitique marqué par la menace terroriste il importe pour les Etats aussi vulnérables que les nôtres de prendre de nouveaux paradigmes face aux nouvelles menaces. En dépit des assurances des ministres de l’Intérieur de son homologue de la justice et plus récent de celui en charge des Affaires étrangères ils n’ont point convaincus.
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