L’annonce de la deuxième phase des travaux du Train express régional (Ter) n’a pas laissé froid les impactés de ces travaux à Sébikotane. Selon les informations « d’iRadio », ces derniers sont sortis pour exiger leurs indemnités, faute de quoi ils ont menacé de bloquer le début des travaux.
Au total, ils sont au nombre de 500 familles victimes des travaux du Ter. Selon leur porte-parole Mohamed Diène, « ils veulent violer la procédure de libération d’emprise, en appelant les impactés un à un pour le dépôt de dossiers. Beaucoup de familles de la phase 2 sont dans la tourmente, parce que le Ter n’a fait qu’appauvrir les impactés de la phase 1. Nous dénonçons le travail de l’Apix qui ne cesse de nous inquiéter », a-t-il targué.
Poursuivant, Mohamed Diéne a réclamé « la suspension de l’approche téléphonique et a invité l’Apix à privilégier le dialogue direct sur le terrain avec les concernés et le collectif ». Les impactés ont sollicité aussi le barème des indemnisations. Toutefois, un message a été lancé à l’endroit du chef de l’Etat, Macky Sall, pour la sécurisation de leurs biens. « Nous voulons être rassurés des indemnisations et nous demandons de faire une évaluation exhaustive et dédommager les impactés à la hauteur du préjudice subi », a demandé leur porte-parole.
Au total, ils sont au nombre de 500 familles victimes des travaux du Ter. Selon leur porte-parole Mohamed Diène, « ils veulent violer la procédure de libération d’emprise, en appelant les impactés un à un pour le dépôt de dossiers. Beaucoup de familles de la phase 2 sont dans la tourmente, parce que le Ter n’a fait qu’appauvrir les impactés de la phase 1. Nous dénonçons le travail de l’Apix qui ne cesse de nous inquiéter », a-t-il targué.
Poursuivant, Mohamed Diéne a réclamé « la suspension de l’approche téléphonique et a invité l’Apix à privilégier le dialogue direct sur le terrain avec les concernés et le collectif ». Les impactés ont sollicité aussi le barème des indemnisations. Toutefois, un message a été lancé à l’endroit du chef de l’Etat, Macky Sall, pour la sécurisation de leurs biens. « Nous voulons être rassurés des indemnisations et nous demandons de faire une évaluation exhaustive et dédommager les impactés à la hauteur du préjudice subi », a demandé leur porte-parole.
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