Les voies du Seigneurs sont impénétrables. En effet qui aurait parié sur la comparution d’un dirigeant africain en sol africaine ? Peut-être personne. Mais avec les turpitudes de l’Histoire, c’est devenu possible. Et plus encore, c’est chose faite puisque l’un des mythes africains vient d’apparaître devant la barre du Palais de Justice de Dakar.
Vêtu d’un boubou de couleur blanche et d’un turban de la même couleur, le dirigeant tchadien déchu et exilé à Dakar depuis, fait face aux juges des Chambres africaines extraordinaires. Dans ce procès qui n’a pas encore début, des incidents s’étant produits dans la salle d’audience, l’ancien président de la République du Tchad risque gros, et l’Afrique aussi.
S’il est condamné pour les faits qui lui sont reprochés : crime contre l’humanité, tortures etc., Mr Habré risque de terminer ses jours dans les prisons du pays où il sera incarcéré (ce qui n’est pas encore défini). Un risque pour l’Afrique, car les yeux du monde entier sont braqués sur notre cher continent qui a vu ses dirigeants s’opposer à l’extradition de Habré, vers la Cour pénale internationale. Alors la question que se pose la communauté internationale est : «Est-ce que l’Afrique va relever le défi de juger, impartialement, l’un de ses fils ? Espérons que la réponse sera OUI. Mais en attendant, prions pour que ce soit le cas.
Vêtu d’un boubou de couleur blanche et d’un turban de la même couleur, le dirigeant tchadien déchu et exilé à Dakar depuis, fait face aux juges des Chambres africaines extraordinaires. Dans ce procès qui n’a pas encore début, des incidents s’étant produits dans la salle d’audience, l’ancien président de la République du Tchad risque gros, et l’Afrique aussi.
S’il est condamné pour les faits qui lui sont reprochés : crime contre l’humanité, tortures etc., Mr Habré risque de terminer ses jours dans les prisons du pays où il sera incarcéré (ce qui n’est pas encore défini). Un risque pour l’Afrique, car les yeux du monde entier sont braqués sur notre cher continent qui a vu ses dirigeants s’opposer à l’extradition de Habré, vers la Cour pénale internationale. Alors la question que se pose la communauté internationale est : «Est-ce que l’Afrique va relever le défi de juger, impartialement, l’un de ses fils ? Espérons que la réponse sera OUI. Mais en attendant, prions pour que ce soit le cas.
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