Âgé de 60 ans, Denis Kadima impressionne avant tout par son CV. Cet expert électoral a été formé à l’université de Lumbumbashi et a obtenu un master d’une des plus grandes universités sud-africaine, celle de Witwatersrand.
Le nouveau président de la Céni dirige depuis 2002 l'Institut électoral pour une démocratie durable en Afrique, basé à Johannesburg et, avant cela, a travaillé pour le National Democratic Institute, un think tank américain. Fort de cette expérience, il a apporté un appui technique à différentes missions d’observation avec l’Union africaine, la Cédéao ou encore la Sadc.
Au total, Denis Kadima, qui parle cinq langues, a participé à plus de 80 processus électoraux. Ce fut par exemple le cas au Soudan, en Tunisie et, plus récemment, en Côte d'Ivoire où il a conduit la mission conjointe avec le Carter Center lors de la présidentielle d’octobre 2020.
Le Kasaï, « seul point commun » avec le président
Et pourtant l’opposition et notamment les Églises catholiques et protestantes -qui ne remettent pas en cause ses compétences - se sont farouchement opposées à sa candidature, l’accusant d’être trop proche du chef de l’État, et de ne pas être impartial. L’acharnement à l’imposer n’a fait qu’accroitre les soupçons.
Denis Kadima est issu de la province du Kasaï tout comme le président Félix Tshisekedi mais « c'est son seul point commun avec le chef de l'État », indiquent ses partisans qui demandent à ce qu'il soit jugé sur son travail.
Aussitôt investit, Denis Kadima a promis aux Congolais un processus électoral crédible. Sur ton compte Twitter, le nouveau président de la Ceni a remercié le chef de l’État. Et tenté de rassurer en promettant de tenir les élections dans les délais constitutionnels.
Le nouveau président de la Céni dirige depuis 2002 l'Institut électoral pour une démocratie durable en Afrique, basé à Johannesburg et, avant cela, a travaillé pour le National Democratic Institute, un think tank américain. Fort de cette expérience, il a apporté un appui technique à différentes missions d’observation avec l’Union africaine, la Cédéao ou encore la Sadc.
Au total, Denis Kadima, qui parle cinq langues, a participé à plus de 80 processus électoraux. Ce fut par exemple le cas au Soudan, en Tunisie et, plus récemment, en Côte d'Ivoire où il a conduit la mission conjointe avec le Carter Center lors de la présidentielle d’octobre 2020.
Le Kasaï, « seul point commun » avec le président
Et pourtant l’opposition et notamment les Églises catholiques et protestantes -qui ne remettent pas en cause ses compétences - se sont farouchement opposées à sa candidature, l’accusant d’être trop proche du chef de l’État, et de ne pas être impartial. L’acharnement à l’imposer n’a fait qu’accroitre les soupçons.
Denis Kadima est issu de la province du Kasaï tout comme le président Félix Tshisekedi mais « c'est son seul point commun avec le chef de l'État », indiquent ses partisans qui demandent à ce qu'il soit jugé sur son travail.
Aussitôt investit, Denis Kadima a promis aux Congolais un processus électoral crédible. Sur ton compte Twitter, le nouveau président de la Ceni a remercié le chef de l’État. Et tenté de rassurer en promettant de tenir les élections dans les délais constitutionnels.
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