La Commission électorale nationale indépendante (Céni) attend beaucoup de cette session parlementaire. Selon son président, Denis Kadima, si la réforme de la loi électorale ne se fait pas maintenant, il sera difficile de respecter le calendrier général des élections.
La commission ne peut plus et ne veut plus naviguer à vue. Denis Kadima a d’ailleurs rencontré, au début de ce mois, les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale pour présenter les enjeux de cette session.
La Céni veut être fixée notamment sur l’éventualité ou non d’un second tour pour la présidentielle. Il y a aussi la question de la participation ou non des Congolais de l’étranger au vote.
Durant cette session, les parlementaires devront également trancher sur le maintien ou non de l’élection indirecte des gouverneurs au second degré, c’est-à-dire par les députés provinciaux.
Les décisions des parlementaires sur ces différentes questions auront un impact également sur le coût des élections. Le bureau de la Céni attend que les députés et sénateurs mettent la pression sur le gouvernement pour décaisser rapidement les fonds destinés aux opérations électorales.
L’autre question qui va alimenter le début de cette session est le sort réservé à Jean-Marc Kabund, jusque-là premier vice-président de l’Assemblée nationale. Déchu de son poste de président de l’UDPS et exclu du parti présidentiel, il ne devrait pas garder sa place au bureau de l’Assemblée nationale.
La commission ne peut plus et ne veut plus naviguer à vue. Denis Kadima a d’ailleurs rencontré, au début de ce mois, les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale pour présenter les enjeux de cette session.
La Céni veut être fixée notamment sur l’éventualité ou non d’un second tour pour la présidentielle. Il y a aussi la question de la participation ou non des Congolais de l’étranger au vote.
Durant cette session, les parlementaires devront également trancher sur le maintien ou non de l’élection indirecte des gouverneurs au second degré, c’est-à-dire par les députés provinciaux.
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