Le cas de Dubaï Port World (DP World) a été épinglé dans la catégorie « cas illustratifs de mal gouvernance à l’occasion de la contractualisation de la gestion des services publics », indique le rapport parcouru par nos confrères du « Quotidien ». En effet, 28 milliards se trouvent dans des eaux troubles, avec le reliquat du ticket d’entrée évalué à 24,6 milliards laissé à cette société, mais aussi des primes d’un total de 100.000.000 pour les membres du Comité.
Par ailleurs, pour ce qui concerne le King Fahd Palace, les vérificateurs de l’Etat ont pu détecter une suite de clauses léonines. Pour des soucis de réhabilitation, dit-on, la gestion de ce réceptif a été confiée au groupe Méridien, par un contrat de gestion daté du 11 octobre 1990. Il a été noté une rémunération de 7 millions pour le gestionnaire. Néanmoins, de l’avis des experts, il n’existe nulle part au monde de contrat de ce type prévoyant plus de 15% du Revenu Brut d’Exploitation (RBE).
A l’ARTP, c’est une magouille à haut débit qui a été mise à nue avec une masse salariale multipliée par 8 en 5 ans, en plus d’honoraires surélevés, c’est-à-dire en constante augmentation et d’exonération de taxes.
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