Ansoumana Dione, président Jaamu Askan wi, a fait savoir qu'il n'y aura pas d'élection le 24 février 2019, appelant les candidats qui feront face à Macky Sall d'exiger du Conseil Constitutionnel de donner un avis sur son recours aux fins d’abrogation de la loi sur le parrainage, déchirant notre Constitution.
"Tout le monde sait que le Président Macky Sall qui était déjà candidat à sa propre succession, ne devait point collecter des signatures pour prendre part à cette élection qu’il organise. Un musulman ou un chrétien doit-il écouter un individu qui déchire devant lui le Coran ou la Bible ? Non ! Alors, comment des gens acceptent-ils de prendre part à une élection organisée sur la base d’une loi contredisant la Constitution qui permet au Président sortant de briguer un second mandat, sans passer par le parrainage ?", pose-t-il.
Il a affirmé que "si les Sénégalais restent indifférents face à cette grosse insulte infligée à la Charte de notre République, tel ne sera jamais (son) cas". Tous les moyens sont bons pour être Président de la République. Mais, que tous ces prétendants au fauteuil présidentiel, se le tiennent pour dire : Dieu ne leur donnera point le pouvoir. Car, ils ne sont pas véridiques et n’ont aucun respect pour leur peuple qu’ils prétendent vouloir diriger. Attention, force restera à la vérité et c’est cela qui empêchera la tenue de cette présidentielle, le 24 février prochain", conclut-il.
"Tout le monde sait que le Président Macky Sall qui était déjà candidat à sa propre succession, ne devait point collecter des signatures pour prendre part à cette élection qu’il organise. Un musulman ou un chrétien doit-il écouter un individu qui déchire devant lui le Coran ou la Bible ? Non ! Alors, comment des gens acceptent-ils de prendre part à une élection organisée sur la base d’une loi contredisant la Constitution qui permet au Président sortant de briguer un second mandat, sans passer par le parrainage ?", pose-t-il.
Il a affirmé que "si les Sénégalais restent indifférents face à cette grosse insulte infligée à la Charte de notre République, tel ne sera jamais (son) cas". Tous les moyens sont bons pour être Président de la République. Mais, que tous ces prétendants au fauteuil présidentiel, se le tiennent pour dire : Dieu ne leur donnera point le pouvoir. Car, ils ne sont pas véridiques et n’ont aucun respect pour leur peuple qu’ils prétendent vouloir diriger. Attention, force restera à la vérité et c’est cela qui empêchera la tenue de cette présidentielle, le 24 février prochain", conclut-il.
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