
Lors de l'intervention qui a abouti à la mort de Mamadou Lamine Dramé, les policiers allemands avaient gardé leurs caméras portatives éteintes, révèle « Les Échos ».
D’après le journal, ces petits appareils discrets qui permettent de filmer les détails des interventions policières afin d'aider l'enquête et prévenir d’éventuelles bavures, notamment, n’étaient pas allumé.
Pendant leur face-à-face avec le Sénégalais de 16 ans, la police a déclaré que celui-ci tenait un couteau à ce moment-là et se serait montré menaçant.
Toutefois, les services chargés de l’enquête sur la mort de l'adolescent ont signalé que l’utilisation des caméras portatives n’était pas initialement prévue lors de l’intervention en question, car les policiers croyaient que le Sénégalais Mamadou Lamine Dramé voulait se suicider. Par conséquent, ils se sont gardés de filmer la scène pour « ne pas lui offrir l’occasion de se donner la mort sous les caméras ».
À en croire le porte-parole du ministère allemand de l'Intérieur, cette précaution est stipulée dans le protocole d'intervention de la police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Il a aussi précisé que les policiers, lorsqu’ils ont compris que la victime ne voulait pas se suicider, ont oublié d’activer leurs caméras « à cause du stress ».
L’enquête suit son cours avec la reconstitution des faits par le parquet de Dortmund et la police de Recklinghausen.
D’après le journal, ces petits appareils discrets qui permettent de filmer les détails des interventions policières afin d'aider l'enquête et prévenir d’éventuelles bavures, notamment, n’étaient pas allumé.
Pendant leur face-à-face avec le Sénégalais de 16 ans, la police a déclaré que celui-ci tenait un couteau à ce moment-là et se serait montré menaçant.
Toutefois, les services chargés de l’enquête sur la mort de l'adolescent ont signalé que l’utilisation des caméras portatives n’était pas initialement prévue lors de l’intervention en question, car les policiers croyaient que le Sénégalais Mamadou Lamine Dramé voulait se suicider. Par conséquent, ils se sont gardés de filmer la scène pour « ne pas lui offrir l’occasion de se donner la mort sous les caméras ».
À en croire le porte-parole du ministère allemand de l'Intérieur, cette précaution est stipulée dans le protocole d'intervention de la police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Il a aussi précisé que les policiers, lorsqu’ils ont compris que la victime ne voulait pas se suicider, ont oublié d’activer leurs caméras « à cause du stress ».
L’enquête suit son cours avec la reconstitution des faits par le parquet de Dortmund et la police de Recklinghausen.
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