Lors de la cérémonie de ce matin, le représentant du Directeur Général de l’ASECNA a expliqué que « la disponibilité et la continuité de nos services nécessitent un personnel de plus en plus qualifié et compétent pour toutes nos activités. Pour cela, la formation continue et le renforcement des compétences sont les bonnes options pour fournir régulièrement aux usagers des produits conformes à leurs exigences. »
Pour sa part, le Directeur de l’ERNAM a souligné que « prenant la mesure de l’importance de ces formations et le renforcement de capacité, l’ERNAM ne se contente pas seulement de remettre des attestations ou de couper les relations à la fin des formations. En effet, nous suivons le comportement des récipiendaires en se renseignant auprès de leur responsable après la reprise des activités. »
Les majors des trois catégories d’activités ont parlé au nom de leurs collègues et madame Seynabou Camara de la facilitation de souhaiter « la poursuite de la collaboration avec l’ERNAM et d’autres écoles pour d’autres sessions de formation, afin de nous permettre d’être continuellement à niveau, tel que recommandé dans notre secteur. Cela nous permettra de nous préparer à l’avènement du nouvel aéroport International Blaise Diagne de Diass. Et comme vous le dites souvent, Monsieur Le Directeur Général : Le futur se prépare aujourd’hui ».
Au nom du ministre empêché, son conseiller technique, Mamadou Kandji, a encouragé le directeur général des ADS pour ses initiatives et a rappelé l’importance des transports aériens dans l’émergence économique du Sénégal.
Le Directeur général des ADS de promettre la poursuite des sessions de formation et l’augmentation de son budget, qui est passé de 75 millions à 150 millions depuis son arrivée à la tête des ADS.
Autres articles
-
« L’avenir de l’agriculture au Sénégal dépend de sa relève générationnelle », Yoro Idrissa Thioye
-
Cession des engrais minéraux subventionnés : Mabouba Diagne fixe ses prix
-
Conseil interministériel pour la gestion des inondations : Keur Massar se met déjà à pied d'eouvre
-
Saraya : destruction de sites d'orpaillage clandestins le long de la Falémé
-
« Si on ne fait pas attention, le Sénégal risque de ne pas pouvoir se nourrir en 2050 », Dr Ibrahima Hathie