En conférence de presse conjointe avec le Premier ministre Ousmane Sonko, Jean-Luc Mélenchon a, dit-il, constaté la « révolution » notée au Sénégal.
Profitant de l’occasion pour témoigner son soutien au peuple palestinien, M. Mélenchon a soutenu : « C’est un moment politique particulier. Le Sénégal a ouvert, par l’action de son peuple, une voie particulière qui est celle de la révolution s’achevant après une résistance particulière marquée de morts et de martyrs. C’est-à-dire par un processus que nul peut protester parce qu’exprimer sous sa forme la plus pure et la plus nette la volonté et la souverain ».
Il ajoute sans ambages en touchant la jeunesse : « Nous avions besoin d’une révolution. Le futur s’écrit dans la jeunesse. Il faut que la jeunesse soit prise en compte. Pour nous Français, cela raisonne d’une façon particulière, ce que nous avons en, commun : une langue commune. Il est temps de la libérer elle-aussi par l’action révolutionnaire ».
Selon Jean-Luc Mélenchon, cette révolution prend même ses sources dans la langue parlée par le peuple. « La langue appartient à ceux qui la parlent. Aux autorités, aux jeunes et à nous, qui sommes vos amis et vos partenaires, c’est un devoir de dignité et de conduite de façon que nous soyons un encouragement à l’action des autres. Mais non, parce que nous mettrions l’erreur d’un jugement hâtif, d’une patience non maîtrisée ou bien de regarder le pouvoir en attendant qu’Ousmane Sonko règle tout et bien sûr il le fera. L’histoire a continué avec cette révolution », a-t-il considéré.
Profitant de l’occasion pour témoigner son soutien au peuple palestinien, M. Mélenchon a soutenu : « C’est un moment politique particulier. Le Sénégal a ouvert, par l’action de son peuple, une voie particulière qui est celle de la révolution s’achevant après une résistance particulière marquée de morts et de martyrs. C’est-à-dire par un processus que nul peut protester parce qu’exprimer sous sa forme la plus pure et la plus nette la volonté et la souverain ».
Il ajoute sans ambages en touchant la jeunesse : « Nous avions besoin d’une révolution. Le futur s’écrit dans la jeunesse. Il faut que la jeunesse soit prise en compte. Pour nous Français, cela raisonne d’une façon particulière, ce que nous avons en, commun : une langue commune. Il est temps de la libérer elle-aussi par l’action révolutionnaire ».
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