«Il convient de noter qu’en dehors des entités déclarantes de l’administration ou du secteur financier, les notaires ou les experts communiquent des informations à la Centif. D’autres comme par exemple les casinos et autres établissements de jeu, les agences immobilières ou les organismes à but non lucratif ne remplissent pas encore cette obligation», a déclaré Waly Ndour dans son message.
Et si ces entreprises se comportent de la sorte, c’est parce qu’il y a «d’une part l’inexistence de supervision de ces entités, et d’autre part, l’absence de contrôle du respect par elles de leurs obligations en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux »
Mais cette tendance va bientôt disparaitre puisque M Ndour déclare que «la Centif a eu des discussions fructueuses avec les responsables de plusieurs services de différents ministères qui pourraient remplir ces missions »
En outre, le président du Centif informe qu’ «un projet de décret portant désignation des organes de contrôle et de supervision des assujettis du secteur non financier en général sera prochainement soumis aux autorités. D’ores et déjà, l’Union européenne, à travers le deuxième Devis programme et la Banque mondiale, grâce au Projet bonne gouvernance économique gérée par la Cellule d’exécution administrative et financière (Cedaf) du ministère de la Justice ont bien voulu accepter de prendre en charge les dépenses liées à l’élaboration, par des experts nationaux et étrangers de manuels de procédures et de lignes directes destinées à ces différents groupes d’assujettis et aux autorités de contrôle ainsi que les charges afférentes à leurs formations en 2017 ».
Et si ces entreprises se comportent de la sorte, c’est parce qu’il y a «d’une part l’inexistence de supervision de ces entités, et d’autre part, l’absence de contrôle du respect par elles de leurs obligations en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux »
Mais cette tendance va bientôt disparaitre puisque M Ndour déclare que «la Centif a eu des discussions fructueuses avec les responsables de plusieurs services de différents ministères qui pourraient remplir ces missions »
En outre, le président du Centif informe qu’ «un projet de décret portant désignation des organes de contrôle et de supervision des assujettis du secteur non financier en général sera prochainement soumis aux autorités. D’ores et déjà, l’Union européenne, à travers le deuxième Devis programme et la Banque mondiale, grâce au Projet bonne gouvernance économique gérée par la Cellule d’exécution administrative et financière (Cedaf) du ministère de la Justice ont bien voulu accepter de prendre en charge les dépenses liées à l’élaboration, par des experts nationaux et étrangers de manuels de procédures et de lignes directes destinées à ces différents groupes d’assujettis et aux autorités de contrôle ainsi que les charges afférentes à leurs formations en 2017 ».
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