On parle de « Super Thursday », le super jeudi mais il y a surtout deux scrutins importants à commencer par le renouvellement des 129 députés du Parlement écossais d’Edimbourg.
Les indépendantistes du SNP, portés par leur dirigeante Nicola Sturgeon espèrent conforter leur majorité, voire réussir l’exploit de décrocher une majorité absolue pour réclamer un second référendum d’indépendance. Mais même avec l’appui des Verts qui ont le vent en poupe et soutiennent une Écosse libre, des déchirements internes au parti et le manque d’empressement des Écossais à revisiter la question de l’indépendance dans le contexte inquiétant de la pandémie et du Brexit rendent l’issue du scrutin incertaine.
L’autre grande bataille se joue en Angleterre
Ce sont en effet les premières élections depuis que le Premier ministre Boris Johnson a pour opposant le nouveau chef du Labour, Keir Starmer… Et les deux hommes ne sont pas au faîte de leur popularité. Tandis que Keir Starmer, après des débuts prometteurs, peine à convaincre, Boris Johnson, lui, a vu le succès de la campagne massive de vaccination terni par les différentes affaires qui planent au-dessus de lui : le scandale du financement pour rénover son appartement à Downing street et le lourd bilan de la pandémie qui a fait plus de 127 000 morts.
Un scrutin va donner une bonne indication de l’état de l’échiquier politique : celui d’Hartlepool, une ville du Nord est qui élit cette fois un nouveau député. Pour le Labour et Keir Starmer, garder Hartlepool est essentiel après la percée des conservateurs aux législatives il y a deux ans qui a mis en péril le « Mur Rouge » travailliste, ces régions défavorisées acquises au Labour depuis le déclin de l’industrie du Nord du pays.
Les indépendantistes du SNP, portés par leur dirigeante Nicola Sturgeon espèrent conforter leur majorité, voire réussir l’exploit de décrocher une majorité absolue pour réclamer un second référendum d’indépendance. Mais même avec l’appui des Verts qui ont le vent en poupe et soutiennent une Écosse libre, des déchirements internes au parti et le manque d’empressement des Écossais à revisiter la question de l’indépendance dans le contexte inquiétant de la pandémie et du Brexit rendent l’issue du scrutin incertaine.
L’autre grande bataille se joue en Angleterre
Ce sont en effet les premières élections depuis que le Premier ministre Boris Johnson a pour opposant le nouveau chef du Labour, Keir Starmer… Et les deux hommes ne sont pas au faîte de leur popularité. Tandis que Keir Starmer, après des débuts prometteurs, peine à convaincre, Boris Johnson, lui, a vu le succès de la campagne massive de vaccination terni par les différentes affaires qui planent au-dessus de lui : le scandale du financement pour rénover son appartement à Downing street et le lourd bilan de la pandémie qui a fait plus de 127 000 morts.
Un scrutin va donner une bonne indication de l’état de l’échiquier politique : celui d’Hartlepool, une ville du Nord est qui élit cette fois un nouveau député. Pour le Labour et Keir Starmer, garder Hartlepool est essentiel après la percée des conservateurs aux législatives il y a deux ans qui a mis en péril le « Mur Rouge » travailliste, ces régions défavorisées acquises au Labour depuis le déclin de l’industrie du Nord du pays.
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