Au moins 910 personnes, dont 138 civils, ont été tuées pendant l’avancée rebelle, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).
A la télévision publique, les rebelles ont annoncé la chute du « tyran » et la libération de tous les prisonniers « injustement détenus », dont ceux enfermés à Saydnaya, une prison symbole des pires exactions des forces de M. Assad.
D’intenses fouilles sont en cours dans la prison lundi, à la recherche de « cellules souterraines cachées, qui contiendraient des détenus », a déclaré le groupe de secours des Casques blancs, qui a dépêché des équipes d’urgence dans la prison. « Les équipes sont composées d’unités de recherche et de sauvetage, de spécialistes de l’abattage des murs, d’équipes chargées d’ouvrir les portes en fer, d’unités canines entraînées et d’intervenants médicaux », a-t-il expliqué.
Conseil de sécurité de l’ONU
A la demande de la Russie, principal allié du pouvoir déchu, le Conseil de sécurité de l’ONU se réunira en urgence lundi à partir de 15H00 (21H00 en Suisse) pour des discussions à huis clos sur la Syrie, selon plusieurs sources diplomatiques. Selon les agences russes, les rebelles ont « garanti la sécurité » des bases militaires russes en Syrie.
Après ses combattants, Abou Mohammad al-Jolani est arrivé à Damas où il s’est prosterné sur une pelouse avant de se rendre à la mosquée historique des Omeyyades.
« Cette victoire est un triomphe (…) pour toute la communauté islamique », a-t-il martelé. « La Syrie a été purifiée. »
Plus tôt, il a demandé à ses combattants de ne pas s’approcher des institutions publiques, ajoutant que celles-ci restaient sous contrôle du Premier ministre jusqu’à la « passation officielle ».
Le groupe HTS est l’ancienne branche syrienne d’Al-Qaïda qui dit avoir rompu avec le jihadisme, sans réellement convaincre les chancelleries occidentales.
Tout en saluant la chute du pouvoir, plusieurs pays ont exhorté les Syriens à éviter le piège de l’extrémisme.
La France a appelé la population « à la réconciliation » et le chef de l’ONU, Antonio Guterres, à protéger « les droits de tous les Syriens ».
La Suisse, elle, a appelé toutes les parties à respecter le droit international humanitaire et à protéger les civils.
A la télévision publique, les rebelles ont annoncé la chute du « tyran » et la libération de tous les prisonniers « injustement détenus », dont ceux enfermés à Saydnaya, une prison symbole des pires exactions des forces de M. Assad.
D’intenses fouilles sont en cours dans la prison lundi, à la recherche de « cellules souterraines cachées, qui contiendraient des détenus », a déclaré le groupe de secours des Casques blancs, qui a dépêché des équipes d’urgence dans la prison. « Les équipes sont composées d’unités de recherche et de sauvetage, de spécialistes de l’abattage des murs, d’équipes chargées d’ouvrir les portes en fer, d’unités canines entraînées et d’intervenants médicaux », a-t-il expliqué.
Conseil de sécurité de l’ONU
A la demande de la Russie, principal allié du pouvoir déchu, le Conseil de sécurité de l’ONU se réunira en urgence lundi à partir de 15H00 (21H00 en Suisse) pour des discussions à huis clos sur la Syrie, selon plusieurs sources diplomatiques. Selon les agences russes, les rebelles ont « garanti la sécurité » des bases militaires russes en Syrie.
Après ses combattants, Abou Mohammad al-Jolani est arrivé à Damas où il s’est prosterné sur une pelouse avant de se rendre à la mosquée historique des Omeyyades.
« Cette victoire est un triomphe (…) pour toute la communauté islamique », a-t-il martelé. « La Syrie a été purifiée. »
Plus tôt, il a demandé à ses combattants de ne pas s’approcher des institutions publiques, ajoutant que celles-ci restaient sous contrôle du Premier ministre jusqu’à la « passation officielle ».
Le groupe HTS est l’ancienne branche syrienne d’Al-Qaïda qui dit avoir rompu avec le jihadisme, sans réellement convaincre les chancelleries occidentales.
Tout en saluant la chute du pouvoir, plusieurs pays ont exhorté les Syriens à éviter le piège de l’extrémisme.
La France a appelé la population « à la réconciliation » et le chef de l’ONU, Antonio Guterres, à protéger « les droits de tous les Syriens ».
La Suisse, elle, a appelé toutes les parties à respecter le droit international humanitaire et à protéger les civils.
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