La prison militaire de Rajo, située près de la frontière turque, au nord-ouest de la Syrie, compte quelque 2 000 détenus, dont environ 1 300 soupçonnés d'avoir combattu pour l'EI, a précisé cette source. Elle héberge aussi des combattants kurdes.
« À la suite du tremblement de terre, qui a affecté Rajo, les détenus ont lancé une mutinerie et ont pris le contrôle de certaines parties de la prison », a indiqué à l'AFP cette source. « Environ vingt prisonniers se sont évadés [...] On pense qu'il s'agit de membres de l'EI », a ajouté cette source, qui n'a pas souhaité être identifiée. Située en zone rebelle, la prison de Rajo est contrôlée par des forces pro-turques.
Les portes et les murs de la prison fragilisés par le tremblement de terre
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une ONG établie à Londres disposant d'un vaste réseau de sources dans le pays en guerre, a confirmé la survenue d'une mutinerie, mais a précisé ne pas être en mesure de dire si des prisonniers s'étaient évadés.
Le séisme d'une magnitude de 7,8, dont l'épicentre est situé à moins de 100 km de Rajo, près de Gaziantep en Turquie, a notamment fragilisé les portes et les murs de la prison, a indiqué la source. Au total, le tremblement de terre et ses répliques ont fait plus de 3 800 morts, dont plus de 1 440 en Syrie, selon un bilan qui risque encore de s'alourdir.
« À la suite du tremblement de terre, qui a affecté Rajo, les détenus ont lancé une mutinerie et ont pris le contrôle de certaines parties de la prison », a indiqué à l'AFP cette source. « Environ vingt prisonniers se sont évadés [...] On pense qu'il s'agit de membres de l'EI », a ajouté cette source, qui n'a pas souhaité être identifiée. Située en zone rebelle, la prison de Rajo est contrôlée par des forces pro-turques.
Les portes et les murs de la prison fragilisés par le tremblement de terre
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une ONG établie à Londres disposant d'un vaste réseau de sources dans le pays en guerre, a confirmé la survenue d'une mutinerie, mais a précisé ne pas être en mesure de dire si des prisonniers s'étaient évadés.
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