Après 18 mois d'existence, la coalition C14 est minée par les dissensions internes. CAR, Togo Autrement, PNP, ANC Parti des Togolais, Santé du peuple... Au total, six partis ont suspendu leur participation ou quitté le navire ces dix derniers jours.
Déficit de confiance, problème de ligne politique, manque de transparence... La liste des dysfonctionnements au sein de la coalition d'opposition est longue.
« On passait plus de temps à s'occuper de cohésion que du reste », déplore le cadre d'un parti qui vient de claquer la porte. Pour l'Alliance nationale pour le changement, les choix stratégiques de la C14 ont fini par poser problème. « Il y a eu trop de compromis politiques aux dépens de la mobilisation », précise Eric Dupuy, le porte-parole de l'ANC et conseiller de Jean-Pierre Fabre.
Des décisions sont prises par la plénière et remises en cause dès le lendemain, ce qui entraîne des problèmes de ligne politique au sein du regroupement, ce qui entraîne également la démobilisation de nos concitoyens. On ne savait plus tellement où on allait ensemble.
Même constat du côté de Togo Autrement. Selon Fulbert Sassou Attisso, le président du parti, « en dix-huit mois de lutte, aucun des objectifs n'a été atteint ». Ni les réformes constitutionnelles pour limiter le nombre de mandats présidentiels. Ni le scrutin à deux tours. Encore moins la libération des prisonniers arrêtés lors des manifestations.
La rencontre avec le chef de l'Etat Faure Gnassingbé mercredi dernier a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Poussant donc six formations politiques à prendre leur distance avec la coalition.
Brigitte Adjamagbo-Johnson, la coordinatrice de la C14 reconnaît d'ailleurs « quelques ratés », mais estime que ces défections ne sont qu'un « mauvais vent à passer ». « Nous n'avons pas d'autre choix que de travailler ensemble », assure-t-elle. « J'ai bon espoir que tout rentre dans l'ordre ».
Déficit de confiance, problème de ligne politique, manque de transparence... La liste des dysfonctionnements au sein de la coalition d'opposition est longue.
« On passait plus de temps à s'occuper de cohésion que du reste », déplore le cadre d'un parti qui vient de claquer la porte. Pour l'Alliance nationale pour le changement, les choix stratégiques de la C14 ont fini par poser problème. « Il y a eu trop de compromis politiques aux dépens de la mobilisation », précise Eric Dupuy, le porte-parole de l'ANC et conseiller de Jean-Pierre Fabre.
Des décisions sont prises par la plénière et remises en cause dès le lendemain, ce qui entraîne des problèmes de ligne politique au sein du regroupement, ce qui entraîne également la démobilisation de nos concitoyens. On ne savait plus tellement où on allait ensemble.
Même constat du côté de Togo Autrement. Selon Fulbert Sassou Attisso, le président du parti, « en dix-huit mois de lutte, aucun des objectifs n'a été atteint ». Ni les réformes constitutionnelles pour limiter le nombre de mandats présidentiels. Ni le scrutin à deux tours. Encore moins la libération des prisonniers arrêtés lors des manifestations.
La rencontre avec le chef de l'Etat Faure Gnassingbé mercredi dernier a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Poussant donc six formations politiques à prendre leur distance avec la coalition.
Brigitte Adjamagbo-Johnson, la coordinatrice de la C14 reconnaît d'ailleurs « quelques ratés », mais estime que ces défections ne sont qu'un « mauvais vent à passer ». « Nous n'avons pas d'autre choix que de travailler ensemble », assure-t-elle. « J'ai bon espoir que tout rentre dans l'ordre ».
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